[Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide.

Moi j'ai adoré Elle&Lui, je le trouve vraiment superbe ! Il mélange désir et amour, j'aime beaucoup !

Je lavai pas vue celui la , mais j'adore je le prefère au deuxième meme , super

Merci, c'ets important pour moi votre avis [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

NEW : Texte dédié à tous ceux que j'aime [Enfin, surtout celles [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 160368

!]

Un coeur pour deux.

Je t’aime alors que, avec mon cœur cassé, j’ai jamais réussi à aimer personne.
- Mais, quand c’est cassé, c’est toujours réparable, non ?
Oh, on aimerait bien y croire. Moi aussi j’aimerais bien croire ça. Mais non. Quand c’est cassé, c’est cassé et puis voilà. Faut apprendre à vivre avec. On y arrive toujours.
- C’est dur ?
Au début, oui. On est sans repères. Mais on les trouve vite. On est aidé. Tu sais, les gens qui n’ont plus de cœur sont nombreux. Tu peux les voir partout. Ils marchent à tes côtés dans la rue. Regarde bien quand tu iras faire tes courses. Tu en croiseras un paquet. Et bien, les gens au cœur cassé s’entraide. Ils se donnent leurs «trucs» pour vivre parmi les autres, comme une personne normale.
- Qu’est-ce qui c’est passé ? Pourquoi es-tu comme ça ?
Je ne sais plis. J’ai trop vécu sans doute. Trop de chose, en trop peu de temps. Et ça, ça vous brise un cœur. Quand ça arrive, on a subitement envie d’en finir, c’est tellement plus simple. On a tous cette idée. Et certains vont jusqu’au bout. Mais ils sont peu nombreux. Une majorité d’entre nous continue. On se trouve une raison de vivre, de continuer.
- Toi c’est quoi ta raison vivre ?
…
- Non, pourquoi tu pleure, je peux faire quelque chose pour toi ?
Si n’importe qui possédant un cœur entier m’avait posé cette question, j’aurais répondu que non. Non, bien sur, les gens au cœur entier ne peuvent pour moi, pour nous.
Mais toi, toi si… Mais jamais, jamais je ne te le demanderais.
- Pourquoi ?
C’est trop dur.
- Dis moi.
Non…
- S’il te plait.
…
- …
Il faudrait… Il faudrait que tu… tu aime pour deux… Que tu m’aime et que tu t’aime. Mais c’est trop dur, c’est pas possible. Je n’ai pas le droit de te demander cela. J’ai pas le droit, hein ?
- …
…
- Je le ferais.

Sourires.

Je t'aime, et c'est carrément trop méga super magnifique

"Sourires."

Le sourire est la chose la plus lumineuse qui soit, sur tes lèvres.

Je t'aime mon amour
Et c'est magnifique

sublime

Merci

Nouveau texte que je viens d'écrire [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

Je trouve pas de titre, alors aidez moi. Je suis ouverte à toute proposition [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 160368

- S’il te plait, pose ce pistolet.
- Qu’est-ce qu’elle a ? Qu’est-ce qu’elle a de pus que moi ? C’est quoi, hein ? Ses baisers sont mieux que les miens ? Ou bien c’est parce que sa poitrine est plus généreuse que la mienne. Qu’est-ce qui te plait que je n’ai pas ? Elle te passe tous tes caprices ? Elle se glisse dans tes draps dès que tu lui supplie de le faire ? Non, elle te laisse t’exploser le nez à longueur de journée. C’est bien ça, hein ? Peut-être même qu’elle le fait avec toi, qu’elle va te chercher tes doses. Mais partages-tu te clopes au lit avec elle ? Comme avec moi… Elle fouille pas dans tes affaires, tu peux la tromper autant que tu veux elle s’en fou. Tout ce qu’elle veut, c’est profiter de ta célébrité, pauvre con. La trouves-tu jolie ? Plus belle que moi ? Moi à qui tu répétais sans cesse que j’étais le plus belle. Tu me disais que j’étais ta muse, ton inspiration… Dis-moi, est-ce que tu l’aime ?
- Jessy, s’il te plait…
- Recule ! Tu fais encore un pas et je tire ! Réponds à ma question. Est-ce que tu l’aime ?
- Jessy, écoute moi. C’est… C’est toi qui est partie. Du jour au lendemain. Je t’ai cherché. Partout ! Mais tu avais disparu. Je ne t’en ai pas voulu… C’est dur à supporter, pour moi aussi. Mais, mon amour…
- NE M’APPELLE PAS MON AMOUR !
- Jessy, je sais, je comprend. Je suis un toxico qui profite de sa célébrité. Le succès m’est monté à la tête, tout comme les drogues. Mais au milieu de mes délires, de mes débauches. Je t’aimais. Et je t’aime toujours. Et je t’aimerais toujours tant que je vivrais. Jessy… Jessy, lève la tête, regarde. Cette fille… C’est qu’une salope de plus. Une sale blonde que je tire une fois de temps en temps quand je suis pas trop défoncé, quand je suis assez sobre pour la distingué. Une blonde… En plus j’aime pas les blondes ! J’ai jamais été autant défoncé, bourré, explosé depuis que tu n’es plus là…
Je t’aime, Jessy.
Alors pose ce flingue. Retire le de ta tempe.
- Cyril…
- Viens là, viens dans mes bras…
- Je t’aime, Cyril…

Sublime, vraiment sa fait des frissons

Je propose "explostion de sentiments ..." cmme titre

Oh putain, mais chérie, mais
Je sais même pas si c'est beau ou "horrible" [par rapport à l'histoire, évidemment].
C'est à faire douter toutes celles étant en couple, là.

[MAIS C'EST QUOI CES STEREOTYPES SUR LES BLOONDES ? ]

C'est sublime Man' tu es très douée!

C'est...j'adore!

C'est une fausse blonde en fait

Merci les filles [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

Au final, je l'ai laissé sans nom [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 160368

Et Aud', laisse moi faire autant de stréréotypes que je veux ! [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 747758

Voilà un nouveau texte [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

Bon, avant que vous le lisiez, je vous previens, c'ets assez trash à des moments, pardonnez moi. En faite, mes inspirations pour écrire ce texte, c'est Lolita Pille [d'où le trash Wink

] et Tentation, pour la séparation. Bref, à vous de juger [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

Pour mon bien...

Quand tu es partit il y a trois ans, tu m’avais dit quoi déjà ? Que c’était pour mon bien ?
Tu en as dit des conneries dans ta vie, mais celle-ci, c’est quand même la plus belle !
Tu ‘as quitté en prétextant que c’était mieux ainsi, qu’ensemble on se détruisait, que c’était mauvais, malsain. Trop de drogues, trop de soirées, trop de mensonges, trop de disputes… Je savais très bien quand tu me trompais, quand tu rentrais trop bourré pour te changer ou prendre un douche, même tout habillé. Et malgré tout ça, je t’aimais.
Tu me répétais sans cesse qu’on était pas du même monde. Que j’étais une fille à papa, et toi qu’une sous-merde, fraichement sortie d’une cité. T’vais pas vraiment tord en fin de compte…
Tu refusais d’être entretenu. Mais très vite, je t’ai refilé le virus. Celui des gouts de luxes des jeunes [ou moins jeunes] mondains parisiens.
A 20 ans, après avoir connu les HLMs, les chambres à plusieurs, et la merde dans ton assiette, tu te retrouvais projeté dans un monde nouveau. Tu dormais dans un lit où il était facile de se perdre, tu vivais dans un appart où il aurait fallu un plan pour s’y retrouver [tu sais, avec le fameux « vous êtes ici »], tu mangeais au resto tous les soirs, caviar et champagne…
Tout ça parce que un soir, en errant dans Paris pour échapper à ta vie de merde, tu as couru pour secourir une fille assise sur la rambarde d’un pont, sur le point de sauter. Mais je n’avais jamais eu l’intention me suicider.
Je sortais d’une orgie, complètement défoncée. En passant sur le pont, les lumières des réverbères se reflétant sur la surface de la Seine m’avait tellement fascinées que j’étais restée assise là pendant une heure, le vent fouettant mon visage, me dégrisant lentement.
Après tout, c’est à cause de moi que tout à commencé. Quelle idée de m’assoir ici les pieds dans le vide !
Après que tu m’ai descendu de mon perchoir, je t’ai trouvé tellement beau, tellement spécial, tellement autre chose que tout ce que je croisais tous les jours, que j’ai insisté pour que tu viennes à la maison en te tirant par le bras et en sautillant sur place.
Tu as suivi dans un état second, complètement perdu, cette gamine de 17 ans sapée comme une prostituée [mais super classe la prostituée, hein !], perchée sur des talons de 15 cm, complètement ivre, à 2h du mat‘, dans les rues de Paris, une vieille de jour de classe.
Dans le taxi, j’ai commencé à t’embrasser. Arrivée devant mon immeuble, j’ai cru que tu resterais plantée devant tout la soirée. À croire que t’avais jamais rien vu d’aussi beau. Puis tu as baissé les yeux sur moi et as trouvé quelque chose de mieux à contempler.
J’ai commencé à te déshabiller dans l’ascenseur, je t’ai sucé dans le salon, et on baisé dans ma chambre.
Au matin, quand je me suis réveillé, tu étais assis au pied du lit. On a discuté toute la journée, toute la soirée, toute la nuit, toute la journée, tout la soirée…
Dès ce jour là, j’ai compris que je ne pourrais plus me passer de toi.
Cinq ans plus tard, je te trouvais dans l’entrée de notre appart, un sac à la main. « Je m’en vais » que tu m’as dit.
Le sac contenant tes affaires est minuscule. Tu n’emportais que ce avec quoi tu étais arrivé [autant dire, rien]. Tu ne voulais aucun de mes cadeaux. C’était soi-disant trop beau pour toi. Tu ne voulais pas les emmener pour ne pas que je crois que c’était tout ce qui t’intéressais. T’en avais même rien à faire de l’argent.
Tu l’as déballé le speech le plus beau du monde. J’aurais du t’enregistrer, c’était un discours digne d’une série. J’aurais du le réécrire, et le publier, j’aurais gagné une fortune !
Tu m’as donc dis que tu partais pour mon bien, pour notre bien à tous les deux. On se détruisant. Tu m’aimais trop pour me voir me foutre en l’air, et bla, bla, bla.
Comment pourrais-je tr croire ? Je n’ai jamais été aussi mal que depuis ce jour-là. Alors oui, depuis trois ans, je n’ai pas mis un pied en boite, mon nez est sain, et mon foie se porte mieux. Mais aussi, je ne mange plus, je ne sors plus, je n’ai pas ouvert un seule fois les rideaux.
Je reste cloitrée dans l’obscurité de notre appart, à respirer cet air confiné. Un brouillard gris traine dans toutes les pièces, car les fenêtres sont presque toujours fermées. La fumée de mes clopes stagne dans l’air, le rendant irrespirable.
Je ne fais rien, je ne fais plus rien. Ah si, pardon. Je reste assise à longueur de journée dans un fauteil, face à l’entrée, attendant de te voir repasser le pas de la porte.
En vain…

Je pleure

t'as tout gagné, je pleure vraiment. Mon dieu Man', c'est tout ton art qui se trouve dans tes doigts. Ne l'oublie jamais, tu es douée, magniphiquemet douée. J'ai pas de mot, juste merci de me faire m'évader : )

Oh, putain, Lyra, ça me fait vraiment plaisir ce que tu me dis. Merci, vraiment [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 459975

[Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 459975

Putain chérie... Franchement, rien à ajouter à ce que Lyra t'a dit. C'est horrible, mais tellement beau, fort.
T'es douée à faire peur

["J’ai commencé à te déshabiller dans l’ascenseur, je t’ai sucé dans le salon, et on baisé dans ma chambre." ça c'est de la phrase Si c'était un livre, j'l'aurais très certainement relevé comme citation, celle ci ]

c'est claire trop le classe poulette

Merci ma chérie I love you

Aud' a écrit:: ["J’ai commencé à te déshabiller dans l’ascenseur, je t’ai sucé dans le salon, et on baisé dans ma chambre." ça c'est de la phrase Si c'était un livre, j'l'aurais très certainement relevé comme citation, celle ci ]

C'est à force de lire Hell et Bubble Gum ça [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 78157

ils sont vraiment forts, prenants (tristes aussi) tes textes, tu as du talent, beaucoup de talent, c'est indéniable Very Happy

Merci beaucoup Heylia, ça me fait très plaisir [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 459975

EDIT : Un nouveau texte, et un autre arrivera quand j'aurais fini de le recopiter [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

Madame Bonheur.

Hier, j’ai voulu allez acheter un sourire. Ils étaient en rupture de stock. Tu te rends compte ? Il parait qu’une folle les a dévalisé ! Maintenant, elle mes distribue partout dans les rues. On l’appelle Madame Bonheur. Quand les gens la croise, ils retrouvent de suite le sourire. C’est fou, non ? C’est comme ça Madame Bonheur. Un cœur gros comme ça, étudié juste pour t’aider. Tu as vu tous ces gens gris et monotone dans la rue ? Tu sais où ils vont ? Ils s’en vont voir Madame Bonheur. On ne sait jamais où elle est. Elle change toujours d’endroit. Un jour dans le parc, un autre devant le lycée, le lendemain dans la rue marchande. Et la prochaine fois, elle sera où ? Dans des toilettes publiques ? Je ne la trouve jamais, mais je sais qu’un jour je la croiserais. Mais personne ne sait à quoi elle ressemble. Essaie de l’imaginer. Je la vois bien en clown, à distribuer des ballons sourires aux gens. En vieille dame, à jeter des croutons de pain aux pigeons-passants. En musicien de rue, qui laisse s’envoler des notes de bonheur. Ou alors tout simplement, c’est peut-être une femme qui est debout, dans un coin, qui vous regarde en souriant. Et quand Madame Bonheur souri, on peut pas lui resister…
Dis, tu y crois toi ?

J'aime beaucoup Smile

super ton texte! [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 Icon_biggrin

, moi je veux bien la voir cette femme Very Happy

Merci toutes les deux [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

Voilà le second [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 540340

5h du matin. Cette insomnie qui n’en finit plus, et me draps affreusement vides qui m’obsèdent. Je me lève. Premier café, première cigarette. Par la fenêtre ouverte, je vois la neige tomber. Je n’ai pas froid. Mes frissons, c’est du plaisir. Le froid me fouette, et je suis complètement alerte. J’entends tout, je vois tout, je sens tout… Le ronronnement du frigo. Chaque flocons. Les effluves parfumés du café. Le gout du tabac. La morsure chaude du café. Des photos au mur. Qu’est-ce qu’elles font encore là ? Je ne les ais pas encore retirées ? Des sourires de gens que je ne reconnais plus. Des grimaces prisent par surprise.
6h17. Première vodka, cinquième cigarette. Je me mets debout. Ouvre toutes les fenêtres. Allume la stéréo. Mets un CD d’Archive. « You all look the same to me ». L’air s’engouffre dans mon appart. Les flocons viennent danser avec moi. Il neige à l’intérieur. Yeux fermés, je tourne, tourne, tourne, tourne. Tourne. Et tombe sur le sol à 7h03, avec mon deuxième café et ma huitième cigarette. Mon sol dur et familier me rassure. J’oublie mes draps vides.
7h45. Troisième café, onzième cigarette. Quelque part dehors, un oiseau chante. Par ce temps . Non, je dois rêver. Je vais sur le balcon. La neige s’est accumulé sur le sol. Mes pieds nus durcissent et rougissent en entrant en contact avec la bouilli gelée. Dans la rue, les gens commencent à sortir. Manteaux, écharpes, gants et bonnets marchent comme des fantômes. Voitures aux vitres embuées. Lampadaire allumé. Ciel s’éclairant au loin.
8h20. Deuxième vodka, treizième cigarette. Cul posé dans un fauteuil. Je prends le premier livre à portée de main. Shakespeare. Roméo et Juliette. Classique. Lu et relu. Et re-relu à 9h30, avec troisième vodka et dix-septième cigarette. C’est à 10h20, quatrième café et vingt-deuxième cigarette en main, que je vais ouvrir la porte. Ça a sonné. Je l’attendais. Et derrière le battant, c’est le sourire que j’attendais qui est là.

Il est très beau aussi...
C'est moi ou tes personnages souffrent et se font du mal ?
Mais j'aime beaucoup aussi Smile

(Tu sèches sur le titre ou c'est la suite ?)

ah enfin un sourire, parce que ce texte était pas très gai, même si l'est super beau, mais la dernière phrase change tout [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 Icon_biggrin

Pas de titre, parce que pas trouvé ! [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 78157

Mais oui, mes prso souffrent carrement. J'écris rarement des textes joyeux tu sais. Lis les, il doit y en avoir même pas 20% de joyeux.
Et tout cas, merci les filles [Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 427834

[Textes] Ma plume ne glisse bien que lorsque mes peines la guide. - Page 7 427834

Ok, je me demandais juste pour le titre Razz

Oui je sais, mais bon qd mm ^^

Et de rien Wink

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