[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !!

c'est bien sympa ça !!

Alors voila , un nouveau , tout frait , tout beau petit texte !!
Sortie tout droit de ma tête, pendant que j'était sensé faire mon BEP blanc, mais j'avai fint et je m'enuiai alors ...

dites moi se que vous en pensé !!

Je me suis rendu compte qu'il ne m'aimait pas. Qu'il ne me voyait pas. Qu'il l'aimait ELLE, celle qui est à l'intérieure, enfouie au plus profond de mon être. Ses yeux ne brillent que pour ELLE. Ses si beaux yeux, plein d'amour et de tendresse, mais qui ne pleurerons jamais pour moi.

Il ne veut qu'elle, ne pense qu'à elle, il meurt d'amour pour elle. Je le vois bien, il n'attend qu'une chose ... la retrouver.

Moi, j'ai seulement son visage, la forme de ses lèvres, la couleur de ses cheveux. Je ne suis pas ELLE. Et il le sait ! A chaque regard qu'il me lance, quand ses yeux croisent les miens, quand il cherche le doux vert de ses yeux et ne rencontre que le marron terene des miens. Il a mal ! Il a si mal, et je ne dis rien de peur de le perdre.

Il me hais, je le sais. Il me hais de trop lui ressembler, sans pour autant être elle. De lui rappeler sa douleur, d'avoir la couelur de sa peau, le son de sa voie. Mais il aime mon corps parcequ'il lui ressemble et sa le reconforte dans son malheure. C'est comme si, pour un instant, il la retrouvait, il se sent mieu, comme apaisé. Elle lui manque. Elle lui manque si fort qu'il en a mal.

Moi, je l'ai toujours aimée LUI, pendant que LUI l'aimait ELLE. Je sais que je suis cruel, mais maintenant qu'elle est partie, je l'ai LUI... enfin, une partie de LUI.
Son coeur se serre, son coeur se consume pour elle, il ne m'appartiendra jamais. Il est a ELLE, pour toujours et à jamais.

Mais peut être qu'un jour, il m'en donnera un morceau, un tout petit bout pour que j'arrive a oublier que je ne suis qu'une coquille lui ressemblant. Pour me faire croire, qu'IL m'aime MOI.

En attendant, je continurai à l'aimer pendant que LUI l'aimera ELLE.

Ma soeure jumelle, ma soeur aimée . Celle qui me fait mal, son âme soeure.

Lyra, tu écris toujorus aussi bien, c'ets toiujours aussi beau. Et même si j'ai bien compris que c'ets aps ça, ce texte me fait penser à The Host.

merci ba tu as a un peu raison, parceque comme je suis entrain de lire the hoste, je me demandai ce u'elle pouvairessentir sur e fait qu'il la rejette ELLE, mais la veuille quand meme car elle a son corps !!

Enfin, apres je me suis dit que je voulai pas faire un truc sur the hoste quand meme, alors je cherchai un truc qui y ressemble et je me suis dit, sa doit etre horrible de se sentir haïe par l'homme que l'on aime juste parcequon ressemble a la femme que lui aime, enfin tu vois ...

donc j'ai prix des soeur jumelle

Oui, je comprends. Très bonne idée !

ba merci !!

J'aime beaucoup lyra ton dernier texte il est très beau et j'aime la facon de faire ressortir les elle et lui

Et bien merci beaucoup, je vien d'écrire ce texte, mais il y a un truc qui cloche, je sais pas quoi, vous pouvez pas me le dire ?

La mort des deux anges !!

- Dis grand-mère, pourquoi Maman est partie ?

- Votre mère n’a jamais su aimer, elle n’a jamais appris à donner son cœur.

-Mais elle a aimée Papa ?

- Ho oui elle l’a aimée, oui elle a aimée de tout son cœur votre père seulement lui non plus ne savais pas comment donner le sien.

-Alors qu’es ce qu’ils ont fait ?

- Ils ont fait la seul chose qu’ils savaient faire, ils ce sont détruis, haïes à en mourir. Seul preuve d’amour qu’ils pouvaient ce donné.

- Raconte-nous !

- « Ils se sont aimés, d’un amour plein de passion. Seulement la passion sa détruit, sa fait mal .Croyez moi, elle l’a aimée si fort, elle qui d’habitude n’aimai personne, elle n’a pas compris. Elle a eu si peur de baisser les armes, parce qu’elle ne savait pas comment faire. Elle a eu si peur de tomber et de ne pas se relever, qu’elle est restée égale à elle-même, c'est-à-dire détaché de tout. »

- Et Papa ?

- « Lui ? Vous aller me dire que lui aurai pu sauver leur amour, seulement lui non plus n’avait appris à aimer, alors le tableau était vite fait. Ils se sont brisés, brûlés les ailes, de trop s’aimer. Et sans savoir comment ils ont fini par ne plus rien ressentir, même plus l’amour. »

« Elle lui a fait tellement de mal, qu’un jour il en a eu marre, et a dit : « c’est fini, tout est fini » Il la tenu une dernière foi, leur dernière chance de se toucher, sans se briser. Il lui a murmuré : « T’aimé devient faux, je n’arrive même plus à m’en convaincre. Je me reconnais plus, tu m’as changé, on se détruit, tu comprends ! C’est malsain, ca fait trop mal ! ».

- Il ne voulait plus d’elle. ?

- « Si bien sure. Il l’aimait si fort »

- Ba alors ?

- « N’en voulez pas trop a votre père, sa la déchiré, il a essayé de tenir, mais elle l’a trop blessé. Il a essayé de pardonner mais n’a pas réussit, ses effort non pas suffit.»

- Elle était triste ?

- « Votre mère a eu si mal, sa lui a brisé le cœur, son cœur qui pourtant ne ressentait pas grand-chose. Elle c’était voilée la face, ayant toujours voulu croire qu’elle ne l’aimait pas. Mais elle au tore, elle a eu mal comme jamais. »

« Cependant, ils ne pouvaient pas continuer à jouer comme ils le faisaient. Se briser, se déchirer ne menait nul par. Oh les vérités font mal, vous savez ! Et les mensonges sont pires encore. Ils s’aimaient toujours si fort, seulement un peu moins qu'avant et continuer de faire croire le contraire aurait été mal… "

-Grand- mère ?

- ….

-Grand-mère ?

- « Qu’étaient-ils en train de faire ? A par se transformer en poussière, s’anéantir l’un l’autre ! Oh, ils ont bien pensés à faire marche arrière, tout recommencer, mais lorsqu’on a plus rien à se dire c'est comme courir après son train … ça serre à rien. »

- Alors ?

- « Alors, ils ont eu mal. Votre père est parti en lui murmurent un doux « oublie- moi », laissant votre mère, sa peine s’écoulent en un ballai de larmes silencieuses, il a ouvert la porte et ai sorti pour ne jamais revenir »

« Votre mère était déjà enceinte de vous, et l’a appris quelques jours plus tard. Elle a mené sa grossesse a terme, avec de grosse difficultés. Elle ne vivait plus, survivait pour juste vous, pour vous donner la vie. Puis une fois qu’elle vous a tenue dans ses bras, elle ma regardée et a dit « je suis désolée, je peux pas.. » et elle aussi est partie s’en jamais revenir »

« Plus tard j’ai appris dans le journal, que deux corps avaient été retrouvé enlacés dans une chambre d’hôtel. La dite chambre avait été ravagé, détruite. Un trop plein de passion je suppose. La police m’a appelé : « il semblerait qu’on est retrouvé votre fille ! » et j’ai tout de suite su, que c’était eux. Dans cette chambre d’hôtel, enfin retrouvés, enfin ensemble, enfin en paix »

- Mon dieu !

- « Le chagrin fait bien des ravages, creuse bien des failles dans le cœur des hommes, brise bien des couples.

Mais l’amour … l’amour...

Tue bien des anges… »

Lyra, je t'ai déjà dis que j'adorais ce que tu écrivais ?
Superbe !

Merci beaucoup, j'avais peur que sa vous plaise pas, je le trouve bizzard, je l'ai écrie cette semaine, semaine que j'ai passée allongée sur le canapé avec de la fièvre, alors je me suis dit que sa serait peut etre nul Smile

Ah non, c'est super !

Merci ma Manou.

Bon un tout nouveau, je vien juste de l'écrire

La pluie cesse de tomber

La pluie coule le long des vitres, les éclaires frappent la terre et éclairent le visage de Sarah. Comme ça aurai pu être beau. Vous savez elle ne veut pas ce qui va arriver. Elle ne veut pas vraiment partir, seulement elle ne le sait pas encore. Les perles d’eau salée qui coulent de sa joue au tapis ne veulent pas arrêter de tomber. Il y a comme un bruit sourd, comme un cœur qui en peut plus de se battre. Peut-être que l’orage n’est que passager, mais après son départ tout le monde se souviendra des dégâts qu’il a provoqué. Vous savez elle était belle Sarah, avant …Avant qu’elle sombre, avant qu’elle colorie ces paupières de noir, avant les piercings, avant la tristesse dans ses yeux, avant lui, avant …
Maintenant il n’y a plus de lui, il n’y a plus de Sarah. Elle est partie, déjà. Elle sans lui. Lui sans elle, ça n’existe pas. Elle ne vit plus, elle survie. Elle attend. Quoi ? Qui ? Lui peut être ! Non lui est déjà mort. Elle attend de se retrouver, de sourire. Elle attend de vivre à nouveau, tout en sachant qu’elle n’y parviendra pas. Alors elle sombre, encore, toujours plus loin.
Elle ouvre la fenêtre, il pleut toujours. Les éclaires frappes le ciel a coup de poing. Elle a mal, si mal, trop mal. Elle ne respire plus depuis si longtemps, elle ne fait qu’attendre, attendre la délivrance. Sarah laisse échapper un sanglot, elle se rapproche du bord, ses pieds nu on si froid. Le vent emmêle ses cheveux autrefois si blond, désormais si noir. Elle regarde le ciel, ça lui brise le cœur. Il est si loin, tellement loin d’elle.
On ne voit pas toujours la détresse qu’essaient de nous souffler ceux qui ont mal. Pourtant ils le crient si fort. Sarah a crié, hurlé sa douleur mais personne ne l’a entendu.
Elle était belle Sarah…
Elle était heureuse.

Elle était grande dans ses bras.

Son pied avance, son cœur bat si fort. La pluie tambourine sur le sol, comme un cœur de tam-tam.
Elle entend son nom, elle se retourne et aperçois sa mère.
Son pied glisse, ses larmes coulent …
Un cri et …
La pluie a cessé de tomber.

C'est magnifique ! <3
Triste en même tant. :'(
Mais si beau..

C'est très triste mais très beau. Dommage juste que dans chaque texte que je lis sur ce fo' la fille se suicide à la fin ^^.

En tout cas, c'est bien écrit, continue.

Bon alors voila , deux petits nouveaux

Le premier

Danse, danse. Tourne, vole, oublie.
Oublie-moi.
Tu es tellement belle quand tu danses, tes cheveux au vent. Pourtant tout au fond de moi je te veux si prés de moi, mais oublie. Tout mon corps hurle mon amour pour toi, mon cœur tape si fort a ma poitrine, comme pour s’échapper et venir te retrouver.
Mais vole, tourne ne t’arrête pas.
Il est temps, libère toi, tu as le droit maintenant. Si tu savais comme je t’aime.
T’es yeux sont si fatiguer, ton corps n’en peut plus de lutter. Tu es si belle, ma douce Laura. Tu es si tendre, si grande. Pourtant tu parais petite, toute petite dans ce grand lit blanc.
Tes boucles brunes étendus sur l’oreiller comme les ailles d’un ange, tu regardes le plafond sans vraiment le voir. Ton souffle est trop dure pour tes poumons, il fait mal, il brule.
Va si danse, tourne vole jusque dans tes rêves. Oublie-moi.
N’écoute plus se bip désagréable qui annonce la faiblesse de ton cœur. Ton cœur est fort, il est grand, il est beau. Danse avec moi Laura, ferme les yeux et imagine toi danser avec moi, tourne tourne et ne t’arrête pas, par sans moi, oublie …Tu verras le ciel est bleu, il y fait bon.
Vole, vole loin.
Ne te soucis pas des larmes dans mes yeux, continue ta route, je ne supporte plus de te voir souffrir, de voir ton cœur mourir lentement. T’es yeux se ferment, puis perlés de larmes ils papillonnent jusqu’au mien et soutiennent mon regard. Mon dieu, que tu as mal, tes yeux me le crient, ils me frappent de douleur. Non non, ne t’excuse pas, je ne veux pas voir des excuses dans tes yeux, seulement une promesse. Une promesse de ne pas lutter, de dormir, de tourner loin, loin …
Va si ma belle, laisse couler tes larmes et part. Danse, danse …
Si tu savais comme je t’aime, si tu savais. Je ne veux pas te voir partir, je ne peux pas, je …
Mon dieu, Laura. Laura.
Ferme les yeux, oublis…
Laura ? Laura !

BIPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPPP

Le premier est vraiment sublime. Ca faisait longtemps que j'avasi pas lu un de tes textes, on y retrouve dedans toutes émotions que tu sais si bien fais passer. Vraiment magnifique I love you

Merci pour ce moment d'émotion pur.

Le deuxième, euh, je sais pas très bien si il faut rire ou pleurer...

Un tout nouveau texte, qui vient tout juste de sortir de ma tête. Il doit etre plein de fautes, meme pire que ca, il doit etre bourré de fautes, mais tempis !!!

Seule ! Toujours. Trop souvent seule pour la petite fille que je suis.
Abandonnée ! Non, pas loin, peut être bien.
Triste ! Un cœur empli de tristesse. Oui !
Trop plein d'amour qui ne veut pas sortir. Ca tire, ca taillade et pourtant, c'est toujours en moi. Comme une étoile de mer, je suis collée à la paroi de mon aquarium, hurlant mon mal, brûlante de retourner dans mon monde, mon océan. Mon amour brûle de sortir de mon cœur, pour allé en remplir d'autres.
Mais, ne sachant comment faire, il brûle l'intérieur de mon corps sans pour autant s'en échapper.
Et alors, mon âme comme mon cœur brûlé à vif par ce trop plein d'amour, se meurent de tristesse de ne pouvoir le faire partager aux autres.

Voila !!!

Edite :

Mal ! Le mal, partout autour de nous. Caché bien profond dans nos rêves, s’immisçant dans nos cœurs, attendant le moment propice pour surgir comme un loup affamé, détruisant tout sur son passage. Brûlant, ravageant les cœurs des personnes innocentes, des hommes qui non rien demander à part exister un tant sois peut dans se monde de brutes.

Respirer ! Trop dur. Beaucoup trop dur. Ca ne devrait pas être si dur. Ca brûle la gorge pour essayer de sortir, ca arrache les poumons, jusqu'à ce qu’ils explosent. Et tout ça pour quoi ? Vivre ! C’est tellement plus dur, contraignent. Ce lever le matin, manger, se brosser les cheveux, grandir. Vivre, juste vivre. Beaucoup trop dur.

Mourir ! Mourir est simple. Il ne reste qu’a ce laissé aller, dormir. Doucement rejoindre un monde calme et serein, sans peine, sans douleur ni trahison. Un monde ou dormir nous fait exister, nous fait vivre sans avoir besoin d’endurer la vie, mais simplement de la savourer. Ne pas regretter la mort, ne rien regretter. Ce laissé voguer au grès du vent, jusqu’a Catalina, bercer par le son des vagues, chauffer par le soleil brulant et dormir, dormir à n’en plus finir.

"La mort est si simple, c’est tellement plus dur de vivre." (twilight)

C'ets vraiment superbe. Surtout le deuxième I love you

Merci hihihi merci merci

« La mort n'est pas perçue de la même façon par n'importe quel individu sur cette Terre. Certaines personnes voient cela comme la continuité de la vie, dans un monde meilleur. D'autres comme une délivrance, un choix réfléchi, parce qu’une lente et interminable agonie les prenait aux tripes. Il en existe certain, pour qui, la mort est tabou, avenir terrifiant de ce qui les attend. Car nous le savons tous, malgré ce que nous ressentons envers la mort, elle viendra à nous, un jour ou l'autre. Elle viendra frapper à notre porte, charmante et inéluctable. Tentatrice et cruelle. Mais elle viendra surtout lorsqu'on l'attend le moins.
Avant, elle ne me faisait pas peur. Je savais qu’elle viendrait, comme on dit si bien, un jour. Seulement, un jour ca peut être loin…

Et puis, elle a emporte injustement et violement avec elle, l'homme que j'aimais.

Et désormais, elle me terrifie.

Victime d’insomnie à répétition depuis trois semaines, mon cerveau reste bloqué sur cette vision que j'aimerais tellement effacer de ma mémoire à jamais. Il est là, encore et encore, corps inerte et mouillé par la pluie, couvert de boue, dans l'arrière cour d’un café. Il est là, le visage douloureux et les yeux ouverts, fixant cet épais ciel noir, fixant un monde que nous ne voyons pas. Je revis cette scène, ce sang sur son corps, son abdomen violé par la brutalité d’une balle, ce silence pesant autour de moi, ce silence … Et moi, moi, essayant de retenir le flot du liquide écarlate de se déverser hors de son corps. Moi, incapable de faire quoique ce soit d’utile, sous le choc, malade à en crever de le voir, là, étendu devant moi, le cœur et l’âme déjà bien loin de moi. Lui qui quelques minutes plus tôt m'avait embrassé. Un premier et délicat baisé, attendu depuis longtemps. Depuis trop longtemps apparemment. Et qui d’une extrême lenteur avait allumé une dernière cigarette, le sourire aux lèvres, dans cette arrière cour de café où il n’aurait pas du se trouver. Oui, la mort n’est pas perçue de la même façon par n’importe quel individu sur cette Terre, mais elle est ressentie de la même façon. Douloureuse et brutale. Inoubliable. »

c'est que c'est super triste,j'ai la larme facile donc... Embarassed

mais c'est super bien écrit

Je t'ai dit ce que j'en pensais, j'aime beaucoup, et c'est très vrai...
On va pas reprendre notre débat ici hein ^^
En tout cas, bravo Smile

Merci beaucoup Smile

C'ets superbe Lyra. J'en ai les larmes aux yeux... Je suis sous le charme I love you

Han sa me fait super plaisir que sa te plaise a se point Smile

SIDA

Pas une nouvelle,
Pas un mot.
Pas de prequel,
Tout est faux.
Déjà tu m’oublis,
Et mon odeur n’a pas quitté ton lit.
Déjà tu m’efface,
De mon corps, il ne reste aucune trace.
Tu m’évites, tu te caches.
Un peu plus vite, petit lâche.
Un oubli et ton monde s’écroule,
Un oubli c’est mon sang qui coule.
Tu le savais, mais ne voulais pas voir,
Que la maladie était posée dans mon regard.
Tu paniques, tu t’égares,
Je jubile de ton désespoir.
Pour le reste du monde, je reste simplement moi,
Alors que pour toi, je porte désormais le nom de SIDA.

Ouh, il est assez violent celui là ! Mais carrement super. Du Lyra I love you

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