[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !!

Alors voilà, j'ai écris des textes sur Harry Potter, je sais que certaines personnes içi aiment bien ces livres aussi, alors je me demandai si je pouvais vous faire par de se que j'avais écrie et si vous pouviez me dire ce que vous en pensés !!!

Si ça vous plai ou pas !!

La première fiction est en trois chapitres, mais ils ne sont pas très longs.

Elle s'appelle : La boite de Pandore
Les personnages sont : Drago Malefoy et Hermione Granger
Et ce n'est pas vraiment une fiction heureuse, mais bon !!!

flower

La boite de Pandore !!!

1. Le Diable

Diable, Satan, Belzébuth, Bélial, Méphisto ou encore Lucifer, tous ces noms te définissent tellement bien, toi le monstre qui a emprisonné mon cœur dans une prison de glace. Dis moi, Drago, es ce que tu m'entends ? Es ce que tu m'écoutes seulement ?

Non, bien sur. Jamais. Mon dieu pour quoi faire, me diras-tu.

Tu ne te soucies que de ta personne, de tes désires, de tes envies. Et moi, comme une idiote, je te laisse me faire passer au second plan. Je ne suis pour toi qu’une petite fille insignifiante juste bonne à combler ton manque d'affection. Tu sais, j'aurais compris si ce masque hautain et froid dont tu as hérité de ton mangemort de père, n'était là que pour te protéger du monde extérieur. S’il n’était là que pour les autres et s’effaçait quand tes yeux croisaient les miens. Si tes insultes lancées à la va-vite, dans les recoins sombres des couloirs, n'étaient là que pour protéger ta si précieuse réputation de sang- pur. Mais, non. Tu es comme ça, c'est encré au plus profond de toi, tu aimes faire mal. Tu aimes me faire mal, moi la sang de bourbe tombée dans les abîmes de l’enfer.

L’histoire dit que le diable voulait à tout prix détruire les hommes et les enfermer dans leur malheur. Tout comme toi. Qu’il était un ange puissant mais qu’il devint orgueilleux et pêcha. Tout comme toi. Au fond, tu n’es rien d’autre que le Diable en personne, mais je me dis que c’est parce que tu souffres donc tu ne supporte pas de voir le bonheur des autres. Tentative insipide pour me voiler la face.

Mais pourquoi le mien, Drago ? Pourquoi mon bonheur ?

Dis-moi ! Pourquoi m’ignorer alors que je ne veux que ton bien ? Pourquoi me briser ? Bouts par bouts, sentiments par sentiments, en me faisant mille et une promesses que tu ne tiendras jamais. En me faisant croire au soleil, alors que tu ne détiens que l’ombre dans le creux de tes mains. Tu crois que je ne suis pas au courent de toutes tes aventures d’un soir. Que je ne sais pas que tu fais exprès d’éparpiller leur sous-vêtements un peut partout, rien que pour me faire du mal. Ne sois pas dupe, mon amour, je suis au courant de tout, et je continue à m'accrocher comme on s’accroche à une bouée pour ne pas couler, en espérant qu'un jour il n’y aura plus que moi. En espérant qu'un jour tu m'aimeras.

Te rend tu au moins compte que tu m’as enfermé dans ton enfer personnel sans aucun espoir de retour et que tu ne daigne même pas m’y rejoindre, monstrueux comme tu es. Et toutes ces barrières qu’il y a entre nous, que tu as forgés par la seule force de ton regard, si méprisant et imbu de lui-même, elles ne sont là que parce que tu le désires, parce que tu ne veux pas les faire tomber. Et pourtant je m’accroche encore et toujours, comme un homme sur le point de mourir s’accrocherait aux dernier fils qui le relie à la vie, malgré le fait que tu m‘ignores quand tes serpentards d’amis sont là, malgré le fait que tu me laisse à chaque fois, seule devant ma porte tellement triste et blessée, le cœur criblé d'insultes aussi efficaces que des balles en argents m'ôteraient la vie. Je reste là, blottie dans tes bras, blottie dans tes ailes d’ange déchu, dans tes ailes noires.

Oh oui ! Tu es mauvais Drago Malefoy. Tu es prétentieux, fière, arrogant, orgueilleux abominable, démoniaque, diabolique et j’en passe. Si je pouvais … si je pouvais je te tuerais. Je te hais tellement. Mais je t’aime à en mourir. Tu m’as bousillé, détruite de l’intérieur. Je t’appartiens toute entière. Mon corps et mon âme te sont à jamais dévoués. Pour mon plus grand malheur et ta plus grande joie.

Le jour de ton ascension auprès du Seigneur des Ténèbres est arrivé trop vite à mon gout, ainsi que cette marque sur ton bras, incrustée dans ta chaire, à jamais indélébile, aussi noir que ton cœur, contrastant avec ta peau diaphane. Nous ne sommes pas du même côté. Tu vis en enfer et moi je devrais me trouver au Paradis, mais sans toi le Paradis à des allures de Purgatoire. Je sais que nous devrons nous combattre. Toi ou Moi, la seule issu possible étant la mort. Et je sais aussi que je ne pourrais me résoudre à te tuer. Je ne pourrais pas t’enlever la vie, sachant que la mienne y est liée. Je n’ai pas d’autre choix. J’attendrais donc que tu faces le premier pas, et que mes yeux se fermes sur ton doux visage.

Je voudrai tellement que tu fasses tomber ton armure, que tu combles les distances qui t'éloignent de moi. Je voudrai partager tes blessures, comprendre mes erreurs. Dis-moi les mots que tu penses tout bas. Je t’en supplie ne me tourne pas le dos. Mais tu ne sais faire que ça, tu es lâche et sans aucune pitié. En tout cas c’est ce que tu laisses transparaitre. Le mal est s’est installé en toi, il a creusé son nid bien au chaud dans ton cœur de glace. Le mal est ton seul bonheur.

Et malgré ça, malgré là certitude que tu me tueras quand tu en auras l’occasion, je vais rester près de toi, parce que je mourais si je m’éloignais et tu le sais bien. Je vais rester dans le silence. A n’importe quelles heures du jour et de la nuit je serai là. J’attendrai que tu faces le premier pas, j’attendrai que tu t’avance vers moi. Que tu me dises que tu as mal et que tu n’attends qu’une chose, que je soigne tes blessures.

Et comme toujours, je serais là. Viens !

Accroche-toi à moi comme je m’accroche à toi.

Accroche-toi à moi comme je m’accroche au Diable.

Et si tu vas en enfer, n’oublie pas, garde moi une place…

Voilà, c'était le premier chapitre, dites moi se que vous en pensé!!! Et si vous voulez le deuxième chapitre!!!

Evite les doubles post stp ^^
Je laisse cette fois mais fais attention je vais rectifier

En ce qui concerne l'histoire, un tout petit peu trop HP pour moi, mais j'aime quand même le style d'écriture ^^

OK, pas de problème, je ferai gaffe la prochaine fois
Et merci !!!

j'aime ton style d'écriture. On comprend bien les sentiments véhiculés Smile

Continue comme ça

J'ai eu 2 message encourageant , c'est déjà bien alors je met la suite !!!!

2. Pandore

Je suis l’incarnation d'une blessure, le souffle d'un trop long combat entre mon père et ma mère. Combat qui ne trouvera de fin qu’à leur mort, parce qu’ils ne savent pas s’aimer. Ils ne savent que se détruire mutuellement, et moi avec. Certaine personnes me voient comme le Diable, une personne vil et cruel, toi aussi, je le sais bien. Tu sais, j’ai grandi dans des draps de soie, je suis née sans éclaboussure. Si tu me regarde bien, tu ne verras aucunes émotions sur mon visage. Je suis de glace, aussi froid que le gris de mes yeux

Quand je n’étais alors qu’un enfant, on ne m’a pas inculqué les base de la vie, on m’a dit de mépriser les gens parce qu’ils n’étaient pas digne des Malefoy, pas digne de moi. On ne m’a pas apprit à aimer, on ne m’a même pas permit de pleurer, ces deux choses je ne sais pas les faires. Voilà une faille dans ma si prestigieuse éducation de sang pur. Tout ce que je suis mon père l’a inventé. Il m’a enrôlé dans sa folie destructrice. Et moi, pour lui faire plaisir, pour qu’il m’aime un temps soit peut je l’ai suivie sans poser de question, j’ai même été jusqu’à le laisser apposer la marque des ténèbres sur mon bras, jusqu’alors innocent. Après ça, je me suis perdu dans un monde noir et cruel, sans pouvoir retrouver mon chemin.

Tu vas me dire que je n’ai pas connus le plus dur, que je n’ai pas vraiment de blessures, que tu ne comprends pas pourquoi je te fais temps de mal. Mais c’est parce que je te hais, toi la sang de bourbe, miss-je-sais-tout, si insupportable et tellement belle. Ma tête me dit de t’ignorer, mais mon cœur lui t’aime comme un fou et je ne peux pas le contrôler. Tu m’as rendu dépendant de toi et de ton corps. Tu es comme l’ambroisie pour les Dieux, si tentante et cruel parce qu’on en devient dépendant. Dans la mythologie, priver un dieu d’ambroisie est l’un des pires châtiments qui puisse lui être infligé, il ne mourra pas mais subira un sort bien pire que la mort. C’est se que tu m’as fait. Je ne peux plus me passer de toi, de ton parfum, de ta peau, je suis accro, j’ai besoin de ma dose touts les jours pour continuer à respirer, tu es le plus monstrueux des anges. Je pourrais te tuer de mes propres mains, quitte à finir en enfers.

Pourquoi je t’en veux ?

Mais parce qu’on m’a laissé le cœur mort, et que ta seul présence le réanime, et ça fait mal. Aussi mal qu’une blessure faite au fer rouge s’incrusterait dans ma peau, pour y demeurer toute l’éternité. Mais je m’en sors sans bleu au corps, juste des bleus à l’âme, invisible à l’œil nu. Cette âme si cruel, me ronge de l’intérieur, elle - si longtemps inconnu de tous mais qui commence à refaire surface - me supplie, quand mes yeux croisent les tiens si blessés par mes insultes, de te prendre dans mes bras et de m’excuser de toutes les façons possible. Mais je ne sais pas faire ça. Alors je continus à te ridiculiser, et quelque par ça me fait du bien. Parce que dans ces moments là tu as mal autant que moi, je le vois dans ton doux regard brillant de larmes, ces lames que tu ne verses que pour moi.

Finalement, tu es comme Pandore, qui par curiosité a ouvert la boite de tous les maux. Seulement toi, tu as ouvert mon cœur et as laissé s’échapper tous les sentiments que j’avais si longtemps conservés et cachés à la vue de tous. Et maintenant, dans mon cœur vide de toute douleur, il y a de la place pour toi. Mais je ne veux pas, je n’ai pas le droit, je ne peux pas aimer une fille comme toi.

Trop tard !!

Oui, il est bien trop tard, pour penser se genres de chose. Tu as volé mon cœur et ne veux pas me le rendre. Je te hais !! Maintenant, débrouilles toi avec ces sentiments que tu as si gentiment laissé s’enfuir.
Aller, regarde-moi !!! Lis dans mes pensées, viens me chercher et laisse moi m’accrocher à toi !! Je te préviens, n’attends pas un signe, je ne saurais pas faire le premier pas. On m’a trop abîmé, on m’a mis en pièce. On m’a privée d’oxygène pendant si longtemps que tu devras m’apprendre à respirer par moi-même.

Je te hais tellement !!!

Vas-y !! Lis dans mon passé et viens me sauver. Je te laisserais faire, douce créature, ange démoniaque, mon ambroisie. Parce qu’au fonde de moi, je sais, je sens, que j’ai de la place pour toi.

Et si tu vas au Paradis, laisse-moi t-y rejoindre…

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! 390273

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! 390273

Voilà, la fin du deuxième chapitre, et peu être à bien tôt pour le troisième

Sérieux j'adore le style. c'est si facile de se mettre a la place des personnages et de comprendre ce qu'ils vivent. Je pense que j'ai préféré la vision par Drago.
Prochaine Smile

oui, pas de problème je mettrai la prochaine se soir je pense !!!!

Mais c'est le dernier chapitre, après j'en ai d'autre mais il sont tous sur Harry Potter désoler !!

Pas grave ça tu est l'écrivaine alors tu choisis tes sujets Smile

WOUAH !
C'est superbe, lyra.
Vraiment, j'aiiiime.
J'adore ton style d'écriture, et l'histoire est vraiment bien !

La suiteee !

merci , c'est vraiment très gentil

Edite :

Et voilà comme promie la fin et si vous êtes sage je posterai un ONE SHOT un peut après.

MAis dites moi se que vous penssez de la fin, moi jel'aime pas trop enfin je sais pas en faite, bref je vous laisse lire !!!

3. Tous les maux.

Tout se déchainera lentement, s’insinuant dans les cœurs comme du poison dans les veines. Perfide tel la vipère se cachant dans les brindilles pour attaquer sa proie. Cruel comme la mort venant frapper à la porte sans criée garde. La guerre va commencer …

Et la haine déploiera ses ailes brûlantes, rougeoyantes comme le feu, brûlant tout sur son passage, brûlant leurs âmes et leurs espoirs.

Sur le champ de bataille se trouvera deux âmes à jamais lié et pourtant séparées. Leur cœurs s’appartiendrons, ne feront qu’un, battront au même rythme, chaque pulsations sera identiques. Mais pour l’instant ils ne savent pas écouter.

Ils se retrouveront, l’un en face de l’autre, seul leur camp les opposant. Leur baguettes se baiseront peut à peut, leur regard se croiseront. Ils n’échangeront pas un mot. Et le monde autour d’eux cessera d’exister, seul les battements de leur cœurs retentirons.

Elle attendra qu’il fasse le premier pas, qu’il lève sa baguette, qu’il prononce la formule et que tout finisse.
Il attendra qu’elle rouvre les yeux, qu’elle le regarde et qu’elle comprenne que malgré la haine, malgré son camp, il l’aime à en mourir.

Elle lèvera les yeux vers lui et en un regard elle ouvrira la boite de pandore, délira tout ses sentiments. Tout cet amour enfermé dans l’étau de son cœur à jamais libéré pour elle.

C’est alors qu’elle comprendra, elle lira dans ses prunelles flamboyant comme les flammes de l’enfer, tous ces mots qu’il n’a jamais su lui dire, tous ce qu’il a tellement pensés sans jamais pouvoir lui avouer. Elle verrat ses yeux lui dirent- parce que lui en est incapable - : ‘‘je t’aime. Je t’aime encore si fort.’’
Et il l’a laissera faire. Il ne se cachera plus, l’a laissera plonger dans son âme torturée, lire dans ses pensées, lire dans son passé pour qu’elle vienne soigner ses blessures, réparer son âme et sauver son cœur.

Bien sur, il pourrait lui citer des phrases magnifique tirées de Shakespeare ou même une réplique du livre qu’elle lui a prêté il n’y à pas si longtemps et qu’il lui avait jeté violement au visage en lui disant que les livres moldu n’était bon que pour les elfes de maison et encore, mais qu’en douce avait lu avec avidité sans pourvoir s’arrêter avant la fin, il pourrait lui dire :

‘‘Si ça fait si mal de se séparer, c’est parce que, nos âmes sont liées. Peut-être qu’elles l’ont toujours été et le seront toujours. Peut-être que nous avons vécu mille vies avant celle-ci et que dans chacune d’elles nous nous sommes trouvés. Et peut-être que chaque fois nous avons été séparés pour les même raisons. Ça veut dire que cet adieu est à la fois un adieu pour dix mille ans passés et un prélude à ce qui va venir.
Quand je te regarde, je vois ta beauté et ta grâce et je sais qu’elles se sont renforcées à chaque existence que tu as vécue. Et je sais que j’ai passé chacune de mes vies avant celle-ci à te chercher. Non pas quelqu’un comme toi, mais toi, car ton âme et la mienne doivent toujours s’unir. Et puis, pour une raison qu’aucun de nous ne comprend, nous avons toujours été forcés de nous dire adieu.
J’aimerais te dire que tout va s’arranger pour nous, et je te promets de faire tout mon possible pour m’en assurer. Mais si nous ne devons plus jamais nous rencontrer et si c’est vraiment un adieu je sais que nous nous reverrons dans une autre vie. Nous nous retrouverons de nouveau ; peut-être que les étoiles aurons changé et que nous ne nous aimerons pas seulement cette fois-là mais pour toutes les autres fois que nous avons connues auparavant.’’

Oui, il pourrait lui dire ça. Il pourrait aussi lui avouer qu’il a mal et qu’il regrette de l’avoir fait souffrir, il pourrait même la supplier à genoux de lui donner un baisé rien qu’une dernière fois avant que la guerre ne s’achève et que l’espoir s’en aille. Parce que tout deux savent bien qu’ils vont perdre, que tout le monde va perdre et qu’ils seront probablement tous tués. Mais toutes ces paroles, tous ces mots n’auront pas d’importances pour elle. Car elle saura, oui, rien quand le regardant dans les yeux, elle saura qu’il la aimé jusqu'à n’en plus respirer et qu’ils seront à jamais lié, dans cette vie ou dans une autre. Et peut importe que la fin de la guerre soit positive ou négative, ils seront réunies même dans la mort.

Alors, ils prendront une décision mortelle. Ils se couperont les ailes, brûlerons leur lumière pour ne rester qu’à deux, mains dans la main, pour oublier que le monde risque d’être détruit par un homme assoiffé de pouvoir.

Enfermé dans leur bulle, ils ne verront pas l’issu du combat.

Ils se rapprocheront, ne pourront détacher leur regards amoureux l’un de l’autre. Se prendrons doucement les mains et échangerons un ultime baisé. Un baisé d’adieu.

Une unique larme coulera…

Leurs mains toujours plus serrées …

Une lumière verte éclairera leur corps enlacés …

Leurs bouches soudées dans un baisé passionné …

Un hourra retentira, le bien gagnera…

Et leurs yeux se fermeront comme la boite de Pandore fut fermée …

Trop tard.

Bon j'ai pas trop froit au double poste mais tempis, j'en mais une autre et je voudri vraiment vorte avie !!!

Le fruit de la solitude !!

Elle pense à lui ce soir, comme tout les soirs depuis qu'il est partit rejoindre les cieux. La solitude est venue la voir, l'enveloppent de son manteau de douleur. Elle se demande si elle pourra un jour, encore aimée comme elle l'a aimée. Mais, elle connaît déjà la réponse. Non... Non, elle ne pourra pas, parce qu'elle lui a déjà tout donné et qu'il ne lui reste plus rien. Parce qu'il était celui sans qui le monde s'éteint. Elle donnerai ses jours pour une nuit dans ses bras. Elle donnerai ses rêves, pour ses lèvres sur les siennes. Elle essaye de l'oublier, mais elle l'aime encore à en mourir, parce que vivre sans lui, lui est impossible. Elle a donné son âme et tous ses espoirs, à une personne sans plus aucune existence. À une personne qui ne vie que dans des souvenirs... des souvenirs qui s'estompent déjà. Elle aurais du épuiser ses larmes depuis le temps qu'elles se déversent, mais elle ne semble pas pourvoir les arrêter. Elle revoit encore son regard. Les portes de son âme, si froides en apparences, mais qui dans le secret de leur intimités brûlaient d'amour pour elle. Elle se torture en se rappelant le début de leur histoire, qui ils le savaient bien n'aurais jamais dû exister, mais qui poussée par un trop plein d'amour avait été révélée au grand jour. Et ils avaient continués leur chemin, main dans la main, sans se soucier des insultes et moqueries lancées sur leur passage. Sans se soucier du danger qu'ils encouraient. Elle ressent sa présence, près d'elle, encore et toujours, comme une ombre -qui elle en était certaine- la suivrait jusqu'au bout du monde.

Les parois de sa vie glisse, elle essaye de s'accrocher mais, lentement la vie s'échappe jusqu'à se qu'elle n'arrive plus à la rattraper. La joie et le bonheur s'en vole loin d'elle pour ne laisser place qu'à la tourmente et la détresse. Et elle a mal. Mais pendant que le monde la juge, pour avoir aimé un homme comme lui, pour avoir donné son amour à Drago Malefoy, elle ne voit qu'une issue, qu'un refuge: mourir d'aimer. Parce que le temps fait mal et qu'il semble ralentir, jusqu'à s'arrêter. Comme si les seconde se transformaient en minutes, les minutes en heures et les heures en éternité. Parce qu'elle ne pourra pas supporter l'éternité d'une vie, si elle n'est pas blottie dans le creux de ses bras.

Alors de son plein gré, même si elle sait qu'il ne l'aurait pas souhaité, elle s'enfonce dans la nuit. Elle paye l'amour au prix de sa vie. Elle a décidé d'abandonner le monde, les gens haineux et leur insultes pour se retrouver dans les ailes d'un ange, son ange. Elle se trouve des excuses pour le geste qu'elle s'apprête à faire, comme penser qu'ils n'ont pas pu vivre leur amour en paix, alors il pourra au moins mourir libre. Que quand on est accroc, même si ça fait mal, ça fait encore plus mal de décrocher, alors elle ne décroche pas, elle se laisse glisser dans les abîmes de l'enfer, elle se laisse mourir d'aimer. Mais elle veut partir la tête haute, sortir vainqueur de cette bataille. Leur montrer, à eux, tous ces gens qui se sont montrés cruel envers elle, lui et leur amour, elle veut leur montrer qu'ils ont été plus forte que leur haine et que maintenant ils seront plus fort que la mort.

Elle veut mourir par amour comme on peut mourir de n'importe quoi et n'emporter que ce qui fut eux, ce qui fut lui. Elle aurait donné sa vie pour qu'ils s'aiment encore une nuit. Elle risque son âme pour le rejoindre et peut lui importe qu'il soit en enfers ou au paradis.

Mais désormais, tout ça n'a plus d'importance ...

Ses veines sont ouvertes, le sang coule sur sa jolie robe blanche, se mêlant à sa chevelure d'orée, se répandant sur le sol tel un venin dans les veines, jusqu'à faire cesser les battement de son coeur ...

Elle est morte...

Elle est morte pour lui.

Et parfois, quand la nuit est calme et que le silence règne, le ciel pleur en secret cet amour inconnu des dieux. Cet amour assassin. Cet amour maudit.

Voilà, dites moi se que vous en pensés !!!

C'est vraiment trop beau ! J'aime vraiment ton style d'écriture.

La dernière est trop bien, j'adore même si elle est triste, on s'attend pas a cette fin la.

BRAVO !!!!

Ba merci beaucoup, enfaite je corire qu'elle sont toute tristes, mais bon

C'est très gentil

T'es joyeuse comme fille lyra xD
Mais j'adore, c'est superbe. Et puis les belles histoires sont celles qui sont le plus triste. Enfin voilà, j'adore, surtout le dernier chapitre de la première. I love you

Merci beaucoup , c'est vraiment très gentil !!
Je vais en mettre une autre (j'en est plsuieur en reserves)

Mais je sourie !!!

*** POV d'Hermione

]Je suis un courants d' air. Une pluie de cristal qui perle sur tes joue couleur opale. Les étoiles sont venu voler mon âme, pour m'emmener rejoindre un monde sans peine, ni douleur. Je vais bientôt disparaître, mais je m'attarde pour voir ton regard, une dernière fois et te dire au revoir. Je sais que tu souffres, que tu m'en veux d'être partit ainsi, sans un mot d'adieux, sans t'avoir promit de nous retrouver dans le monde des anges. Mais, ici je n'existais pas, je n'existais plus . Je me sens bien au- delà, je me sens libre, en paix. Tu ne le vois pas, tu ne comprend pas, Drago. Tu ne m'entends pas. Écoute ! Je suis là, une dernière fois.... Drago...
Mais, tu ne me vois pas.

Dans le ciel, en silence je m'efface. Je par, je te laisse sur la terre avec en cadeaux les souvenir de notre amour. Je me sens légère. Je suis sans eau, sans air, sans une feuille pour verser mes larmes. Mon corps n'est plus matériel , mais les larmes coulent tout de même. Je t'aime, tu sais! Mais l'amour ne sauve pas de tout. La guerre m'a pris trop de choses. Comment vivre dans un monde où Harry est mort, où Ron est dans le coma et où Ginny ... Ma douce Ginny, n'est plus que l'ombre d'elle même, depuis le décès de son amour. Comment vas t-elle pouvoir aimer l'enfant qu'elle porte sans l'aide d'Harry ? Comment aurai-je pu te donner un enfant dans un monde que je déteste ? Comment pouvons nous continuer à vivre dans un monde aussi cruel ? Moi, je n'ai pas pu continuer, même avec toi à mes côtés. Mon coeur a trop souffert, pour continuer à battre normalement. J'aurais voulu te le donnée, mais un coeur brisé, ne serre plus à rien. Je suis la Reine d'éden, venu voir mon roi pleurer sa reine. Je suis la femme maudite du hasard. Qui aurais cru que gagner la guerre aurais cette effet là sur le monde ?

Maintenant, je vais te laisser. Ne m'en veux pas trop. Dit-toi, que je suis bien là où je me trouve. Et que je t'aime, ne l'oublie jamais !
[size=12]Je regarde une dernière fois mon corps, auprès duquel tu es agenouiller, les larmes déferlants sur ta peau diaphane. Mes poignets son ouvert, une lame de métal posée juste à côté. Ma robe est tâchée de sang, une dernière larme coule sur ma joue.

Mais... je sourie

**** POV de Drago

Ils sont tous là. Tous ses gens son là pour elle. Comment vais-je leur dire ? Comment vais-je leur dire qu'elle a préfet s'ouvrir les veines plutôt que de rester parmi nous ? Qu'elle avait tellement mal, que vivre sur terre lui était insupportable. Et que même notre amour n'aurais rien pus faire. On avait gagner la guerre et elle était encore en vie. Et, maintenant elle n'ai plus. On m'as pris mon soleil. Elle m'as laissé seul. Seul, avec ma douleur. Je lui en veux. Je lui en veux autant que je l'aime, c'est à dire éperdument.
Ça y est, le moment est venu. Je vais devoir parler devant tous ces visages emplie de peine. Je monte sur l'estrade. Je suis près du cercueil, où repose son corps. On dirait qu'elle dort. Elle est parfaite, comme toujours. J'approche ma baguette de ma bouche et prononce ''Sonorus''. Ma voix s'élève par delà la foule, jusqu'au fin fond du parc :

Elle disait : « J'ai déjà trop marché. Mon coeur est déjà trop lourd de secrets, trop lourd de peines. »
Elle disait : « Je ne continue plus. Ce qui m'attend, je l'ai déjà vécu. C'est plus la peine. »
Elle disait que vivre était cruel.
Elle ne croyait plus au soleil.
Ni au silence des églises.
Et même mes sourires lui faisaient peur
C'était l'hiver dans le fond de son coeur
Le vent n'a jamais été plus froid. La pluie plus violente que ce soir-là. Le soir de ses vingt ans. Ce soir où elle a éteint le feu, derrière la façade de ses yeux. Dans un éclair blanc.
Elle a sûrement rejoint le ciel. Elle brille à côté du soleil, comme les nouvelles églises. Et si depuis ce soir-là je pleure...C'est qu'il fait froid dans le fond de mon coeur

Les larmes coulent sur mes joues. Et je ne peut les arrêter. Je leur dit aussi qu'elle a été ma plus belle trahison. Trahison, envers mon père, mon rang, mon sang. Mais, que pour rien au monde je ne reviendrai en arrière. Je leur dit que je l'aime de tout mon coeur et que rien n'effacera se sentiment. Qu'elle avait mal et que désormais elle est en paix, loin de ce monde qu'elle qualifiait trop lourd de peine et de deuil.

Après un dernier regard vers la foule, je descend les marches menant à sa tombe de pierre banche. Elle a l'air si paisible, si douce. Ses cheveux emmêlés par des pierres brillantes s'étendent sur ses épaules tel une pluie d'étoiles. Ses mains sont posées sur un ventre rebondit, dans lequel un nourrisson aurais du finir de grandir, notre enfant... Notre enfant qui ne verra jamais le jours. Elle porte une robe bleu nuit qui sied à merveille à son teint. Je dépose une rose rouge entre ses mains, pour que mon amour la suive dans l'au-delà. Avant de la quitter, je regarde une dernière fois son visage. Un imperceptible sourire se cache à la commissure de ses lèvres. Alors, je referme son cercueil. Avec dans les yeux le souvenir de son sourire, et dans le coeur une place à jamais réservé pour elle...

Voilà, toujours pas de fin très heureuse, je sais !!
J'éspère que ça vous a plus, dites moi se que vous en pensées !!

les chant des desespoir son les plus beau ^^

bravo

merci MDR c'est tout mignon !!!

Bon alors un autre si ça vous plais les histoires tristes !!!

Les images de notre amours !!!

Tu te souviens, de tes mains ... Du bout de tes doigts sur ma peau ?Quand mon coeur battait tellement vite aux moindres te des gestes; quand tu me touchais telle une plume caressent ma peau; quand je brûlais de l'intérieur rien qu'en regardant tes yeux.

Et puis, la glace qu'ils contenaient a éteint la flamme des miens, comme une vague détruisant tout sur son passage, et je me suis noyée. Tu te souviens ? Tu te souviens du mal que tu m'as fait ? ... Moi je m'en souviens, et pourtant je t'aime encore, peut être même plus qu'avant. C'est idiot je sais, mais je ne sais pas comment arrêter, tu ne m'as pas appris à t'oublier. Juste à souffrir de trop t'aimer.

Je me souviens de nos baisers, parfois tendres, parfois passionnels ou même violents, comme nos étreintes. Dit- moi ! Où est passé cette passion, Drago ? Où est t-elle ? Tu crois qu'elle s'est envolée à jamais ?

Je me souviens, de toi et moi, allongés sur le canapé de notre salle commune, tu me chantais des berceuses espagnoles. La douceur du silence dans tes yeux; c'était '' Magique'' Habile stratagème, pou me faire t'aimer d'avantage. Il y avait tellement de tristesse dans tes yeux, que je souhaitais ne plus jamais te voir malheureux. Je croyais que tu voulais la même chose pour moi. Apparemment, non.

Je me souviens, de ce jour fatidique où tu m'as détruite de l'intérieure. On avait décidé de faire un tour, comme tu me semblais distant depuis quelques jours, j'ai pensé que ça nous ferai du bien. Grave erreur. Nous avons donc marché le long d'une rue bondée. T'as pris ma main, avec un drôle de sourire aux lèvres. Quand la foule autour de nous se fît plus abondante, tu t'es arrêté, et tu m'as dit '' c'est fini, je ne t'aime plus''. Ces simple mots, mon fait l'effet d'une bombe, brisant tout à l'intérieur de moi. Je t'es regardé sans rien dire, les larmes déferlants sur mes joues, parce que je savais que tu ne plaisantais pas. Tes yeux me l'ont dit avant même que tu n'ouvres la bouche. Et lorsque t'es parti tu m'as embrassés sur les lèvres, comme pour me narguer, pour me faire comprendre que plus jamais je ne les goûterais. Après tout, tu es un Malefoy, à quoi je m'attendais. Tu aime faire mal, c'est dans ta nature. Puis tu t'es reculé, m'as chuchoté ''je ne te laisserais jamais oublier ces images.'' Tes yeux étaient si froids. Et tu es partie, me laissant seul au milieu de la foule. J'ai eu mal à en crever. Si tu savais comme j'ai eu mal.

Et voilà, c'était fini. Notre histoire, le serpent et la lionne, le bien et le mal. Ça ne pouvais pas durer. Je voudrais te dire au revoir mon amour, mais comment faire ? Je ne peut que dire adieu à mon rêve d'espoir.

J' ai essayé de ne pas penser à toi .Mais, comme tu la juré, je n'oublierais jamais ces images. Ne peux tu pas juste me permettre de t'oublier ? Non, tu es bien trop monstrueux pour ça. Notre malheureuse histoire d'amour a duré trop longtemps. Tu m'as tourné le dos. Si j'avais sue que t'allais me briser le coeur... Mais, les Malefoy font toujours ça, n'est ce pas ?

Je ne peux pas aller à la mer; je ne peux pas utiliser la magie; je ne peux pas me réveiller le matin sans penser à toi. T'es parti et je suis hanté par les souvenirs de notre amour. Et le pire, c'est que je parie que tu vas très bien. T'as simplifié les choses pour rentrer et ressortir de ma vie, sans te faire de mal, peut être que tu ne m'as jamais aimé. J'ose espérer que si, tu as juste congelé ton coeur au bon moment.

Depuis ce jour, d'autres corps nous ont aimés. Mais, je ne sais pour quelle raison, je revois nos regards, j'entends encore nos fou-rires. Pourquoi ce jour là ? Pourquoi étais-tu là ? ... Le jour de mon mariage avec un autre que toi, n'était pas le bon jour pour refaire surface. Mais, tu le savais, que je t'aimais toujours, tu le savais et tu es venu pour me faire du mal. Parce que tu ne sais être heureux que dans le malheur. C'est ton plaisir, ta seule joie.

Mais, le temps nous a échappé, il s'est enfui loin de nous, tu es arrivé quelques minutes trop tard, avec toujours sur le visage, ce sourire qui m'as fait tant de mal, mais que j' ai tant aimé. La vie nous a encore éloignés, le bonheur n'était pas au rendez-vous. Mais tu le savais, ça aussi. Tu es arrivé un tout petit peu en retard, pour que je puisse apercevoir la vie que j'aurais eu, si je n'avais pas dit ''oui''. Ces quelques minutes de retards, ont remis toute m'as vie en questions.

Alors je t'attends dans d'autres bras, je me perds dans d'autres yeux et je te désire plus que jamais. Pour toujours, je t'attendrais, avec mes souvenir auprès de moi. Même si je dois regarder ma vie passer...

Pour ne rêver que de toi...

De toute façon, tu me l'as juré. Je n'oublierais jamais les images de notre amours.

Voili, voilou, ditsmoi ce que vous en penssées,please !!!

Je sais le double poste, c'est interdit !!!!

Voilà, je vient d'écrire un texte inspiré de grey's anatomie, revister a la sauce Harry Potter (on ne change pas uen équipe qui gagne) bref je voudrai savoir si ça vous plais, j'y est passer pas mal de temps pour que tout concorde et tout bref, si sa vous plais ou pas ... ba dit le s'il vous plais !!!!

Le Temps

15 minutes, 15 heures..

le temps s'amuse à nous botter les fesses. Même pour le plus fort d'entre nous, il semble jouer des tours.

Ralentissant, vacillant...Jusqu'à ce qu'il s'arrête...Nous laissant figés dans l'instant, incapable d'aller d'un côté ou de l'autre.

Je ne sais pas comment j'ai atterri ici, je sais juste que je suis là, sur le sol d'une salle de bain, en robe de bal, sans pouvoir bouger, la seul chose que je sais, c'est que je viens de perdre l'homme de ma vie. Et je les entends murmurer tout bas, eux mes amis, de l'autre côté de cette porte, cette porte qui nous séparent :

-Elle est restée là-dedans toute la nuit.
-On doit faire quelque chose.

J'entends la porte s'ouvrir, je vois des chaussures d'homme et Harry qui s'allonge à côté de moi :

-Eh, Hermione?
-Quoi ?
-Peut-être que tu devrais...te ... te changer. Porter quelque chose de plus confortable....
-Arrête..
-Hermione...
-Arrête. Vraiment. Arrête... de parler.

Il me parle, mais tout se que je veux c'est qu'il arrête, ça fait trop mal.

-Il n'y a rien à dire. Tu comprends ? Il n'y a rien à dire.
-Je suis tellement désolé.
-Je sais.

Ma vue se brouille à cause des larmes, et je l'entend, lui, me dire que je suis belle, qu'il rêvait de danser avec moi depuis des semaines. Je me connecte à la réalité, je vois Harry sortir de la salle de bain, il ne ferme pas bien la porte alors j'entends, encore leur murmures :

-Comment va Hermione ?

Je croie que c'est Ron qui parle avec Harry mais je n'en suis pas sur et peu m'importe, plus rien n'a d'importance maintenant.

-Aussi bien qu'on peut l'imaginer. Ça n'est jamais facile, tu sais ? Perdre un ami.
-Oui, mais ça devient un peu moins...choquant, je suppose, mais...
-Ça n'est jamais facile. Et puis Hermione était amoureuse de lui. Drago n'était pas seulement un ami. Ils étaient amoureux.
- Et pour la veillée ?

C'est à partir de là que j'ai arrêter d'écouter je croie, j'ai sombré dans un trou noir. Je suppose que je me suis endormi car quand j'ai ouvert les yeux, le soleil avait déjà baissé, les heures avait du passer. Puis mon regard se posa sur une chevelure rousse, Ginny :

-Ce truc que tu es en train de faire Mione, c'est pas sain. Je veux dire, tu dois enlever cette robe.
- Parle-moi de la veillée !
-Bien, c'est un truc que tu fais quand quelqu'un meurt. Tu vois, on l'a fait pour ma grand-mère.
-Comment ça marche?
-Les gens apportent à manger, la famille vient. C'est censé aider pour le deuil, tu vois ? C'est pour honorer le mort.
-ca a l'air bien.
-Ouais. Sept jours sans travail, sexe...Sans... sans se raser, sans...
-Quoi ?
-Sans vêtements propres. Hermione...
-On est pas obligés de faire de veillée
-Tu sais qu'ils ont emmené son corps.
-Je ne le reverrai plus jamais.
-Hermione, tu sais je ...
-Qu'est-ce que tu ressentirais si tu ne voyais plus jamais Harry?
-Oh, euh...Je vais...Je vais quitter la pièce pour un moment, pour te laisser te reposer un peu, ok ?

Je ne prend même pas la peine de lui répondre, je ferme les yeux et je le voie, alors je les ouvres, parce que le voir me fait mal, trop mal pour l'instant. Je croie que je me suis encore endormie, le temps passe et je ne bouge pas, je suis toujours là sur le sol de cette salle de bain, dans cette robe, seul les gens autour de moi défile, Harry est revenu me voir après le tour de Ginny, il ne parle pas, il c'est que je dois faire le premier pas, il à déjà vécu ça avec Siruis et ces parents :

-Quand Sirius est mort...Quand... quand elle la tuée, est-ce que tu t'es sentie comme si...
-Quoi ?
-Comme si tu bougeais au ralenti. Il était là et après il ne l'était plus, comme si j'avais cligné des yeux et qu'il était parti. Je me sens comme si je fonctionnais au ralenti...
Comme si je fonctionnais au ralenti et que tout autour de moi...bougeait trop vite. Et je veux juste retourner en arrière...Au moment où les choses étaient normales. Quand je n'étais pas..."La pauvre Hermione effondrée sur le sol de la salle de bain dans sa robe de bal avec son...son fiancé mort." Mais je le suis. Et je suis...Juste coincée. Et il y a toute cette pression parce que tout le monde s'agite autour de moi, en attendant que je fasse quelque chose ou dise quelque chose, ou perde la boule, ou hurle, ou pleure, et je suis contente de jouer mon rôle. Je suis contente de prononcer les répliques et de faire tout ce que... je suis supposée faire si ça peut rendre les gens plus à l'aise. Mais je ne... je ne sais pas comment faire ça. Je ne sais pas comment être cette personne. Je ne...Je ne sais pas qui est cette personne.
-Mione...
-Comment est-ce arrivé ? Comment en sommes-nous arrivés là ? Pourquoi est-ce que je suis seule ? Où est Drago ?
-Tu n'es pas toute seule, Mione.

Mais il ne voie pas, que je suis seul, toute seul. Sans lui, je ne suis rien. Je voie la pante mais je n'arrive pas à la remonter, je suis en bas à attendre. Attendre quoi ? Je ne sais pas. Lui, peut-être. Oui, je l'attend, Lui. Mais je sais que je ne devrais pas car il ne reviendra pas et je suis seul.

Je l'ai entends encore, ils parlent de moi, à croire qu'il n'y à pas d'autre sujet depuis ... depuis qu'il..., je n'arrive même pas à le dire :

-Elle n'est pas morte, Ron !
-Ça y ressemble un peu. Je veux dire je ne pense pas qu'elle sera de nouveau la même un jour.
-Tu sais...Tu sais, Ron, il y a des moments, où d'un seul coup, en un dixième de seconde, la vie change pour toujours. Et avant de le savoir, tu es ailleurs.
-Tu crois qu'il pourrait être trop tard.
-Trop tard pour quoi ?

Je n'écoute plus, je ne veux plus écouter. Je ne veux pas les entendre parler de moi comme ça, je sais que je n'est pas l'air très en forme, mais delà à dire que je suis morte. Enfin, oui, peut-être, c'est vrai que je ne ressent plus rien, le froid, la faim, la soif, plus rien. Je suis vide de toute émotion, sauf de la douleur. Maintenant, c'est au tour de Ron, de venir me parler ou plutôt me tenir compagnie pour ne pas que je reste seul, mais malgré leur présence je suis toujours seul :

-Je pense que la pire merde du monde peut te tomber sur le dos, et tu peux t'en sortir. Tout ce que tu as à faire, c'est survivre.
-Tu ne sais pas se que tu dis, Ron ! Tu ne sait pas se que je ressent. Tu ne l'aimais pas comme je l'aimai, tu ne le voyait pas comme je le voyait.

Je me terre dans le silence, je n'écoute plus. Je me souvient de la discutions que j'ai eu avec Ron, juste avant le bal :

flash-back

-Soit gentil avec lui,Ronald Weasley. Il m'aime.
-Moi aussi je t'aime.
-Oui, et c'est quelque chose que tout le monde devrait connaître une fois dans sa vie.

J'ai été aimée, je lui suit toujours d'ailleurs. Mais plus par lui, plus par la personne qui contait tellement à mes yeux. Je me souvient aussi du jour, où je lui est dit ''je t'aime'' pour la première fois. Il n'avait rien répondu et j'étais tellement vexée que j'ai arrêtée de lui parler, jusqu'à ce qu'il m'explique :

Flash-back

- Arrête de me repousser. Hermione, écoute moi! Aller, écoute moi!
-...
- Si je te le dis maintenant, je te le dirais juste parce que tu me l'as dit.
Quand je...Quand je dis je t'aime, je veux le penser et pas te le dire parce que toi tu me l'as dit...
Tu dois juste me laisser du temps, pour que je le pense vraiment.

A ce moment là, je savais qu'il me le dirait bientôt et qu'il le penserait vraiment. Que le jour ou c'est trois mots sortiraient de sa bouche, se serai pour la vie. Me connecter à la réalité est de plus en plus dur. Je n'ai pas envie de le quitter, je n'ai plus envie. Ce fut encore au tour de Harry de venir me ''garder'':

-Sirius était ma seul famille...Et quand il est mort...Il t’arrive une chose... Ou... Ou tu arrêtes de faire des projets. Parce que, tu avais des projets, mais il y a un accident, un Avada Kedavra de trop et tes projets disparaissent. Alors tu...J'essayais juste d'aller du lever au coucher du soleil. C'était aussi loin dans le futur que je pouvais aller. Et ça m'allait très bien. ça m'allait. Mais maintenant, il y à Ginny et j'ai à nouveau des projets. Il...il faut juste te relever, trouver la chose qui t'aidera à aller de l'avant.

Il c'est arrêter de parler, je trouve sa bizarre. Il à les larmes aux yeux :

-ça va ?
-Oui, c'est juste, euh...

Il ne finit pas sa phrase, ce relève et sort de la salle de bain. Il me laisse seul avec mes souvenirs. Je me souvient de notre première fois, lui, l'avait déjà fait, moi aussi d'ailleurs mais c'était notre première fois, ensemble. On en avait déjà parlé mais on ce disait qu'il fallait mieux attendre pour voir si on tenait vraiment l'un à l'autre et puis une chose en entraînant une autre :

Flash-back

-Je déteste t'avoir tellement dans la peau.
-Tu es très sexy.
-C'est un compliment, Drago ?
-Peut-être.
-Ça ressemble à un compliment.
-Alors s'en est un.
-Et bien, continue, tu pourrais être chanceux.
-On parle de chanceux à quel point ? On parle juste d'un peu chanceux, ou alors de serieusement chanceux ?

J'ouvre les yeux, je ne veux plus me souvenir, c'est trop dur, ça fait trop mal. Ça brûle à l'intérieur et je n'arrive pas à... Je veux juste oublier, je veux arrêter mais je n'y arrive pas et je me souvient. Je suis à côté de son corps, il est en costume, c'est un bal, le bal de fin d'année. Il est déjà mort, tous nos amis sont autour de nous, ils nous regardent, même la fin de la guerre n'arrive pas à les rendre heureux, quand ils nous regardent. Je suis sur son corps, je ne pleur pas, je suis juste là et je commence à parler :

-Je pense que c'était son père. Ça n'a duré qu'une seconde.
-Mione...
-Harry à fait du bon boulot. Il à réussit à vaincre le Grand Méchant. Je ne sais pas pourquoi je n'ai pas pensé que sa pourrait arriver aujourd'hui. Il est mort seul. Il était seul.
-Il n'y a rien que tu aurais pu faire.
-J'ai changé de robe trois fois. Je voulais être jolie. Je serais arrivée plus tôt... Mais je n'arrivais pas à décider quelle robe mettre.
-Hermione...On ne devrait pas resté là.
-Mione, il y a des choses qu'ils ont besoin...Ils doivent le déplacer. L'emmener avec les autres. Tu ne peux pas rester ici. Je sais que tu veux...
-S'il vous plaît...Partez, juste. Je veux être seule avec lui.
-Hermione, ce n'est pas Drago.
-Tais-toi ! Ron, Tait toi
-Mione...
-Ce n'est pas Drago. A la minute où son coeur s'est arrêté de battre. Il a cessé d'être Drago.
Maintenant, je sais que tu l'aimes. Mais je sais qu'il t'aimait aussi. Et un gars qui t'aime comme ça, il ne veut pas que tu t'infliges ça. Car, ce n'est pas Drago. Plus maintenant.
-Il y a une heure il faisait sa demande. Il ma demander en mariage et j'ai dit, oui.
Et maintenant...Et maintenant ils vont l'emmener. N'est-ce pas absurde ? Ce n'est pas la connerie la plus ridicule que vous ayez jamais entendue ?

Je veux arrêter de me souvenir. Je veux arrêter d'avoir mal. Et là, je le sent, cette petite personne qui vie en moi, cette part qui ne m'appartient pas, qui lui appartient à lui. Ce petit boue de lui, celui pour lequel je vais faire des projets, celui pour lequel je vais vivre.

Alors doucement je me lève, je suis prête.

Je ne suis plus seul.

Le temps passe vite. Le temps n'attend après aucun homme

Le temps guérit toutes les blessures. Nous voulons tous la même chose... plus de temps.

Le temps de se lever. Le temps de grandir...Le temps pour oublier...

Le temps...

Juste wow

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! 459975

Kyaaaaaa

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! 399308

si kyaaaaaaa eut dire qua ça te plai et bien merci c'est très gentil

Ayara a écrit:: Juste wow

C'est carremetn sublime lyra. T'es super douée [Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! 459975

Puise que ça vous plai autent je vous en met un autre

''Certaine personnes, penses qu'après la mort, on ne ressent plus rein. Et bien, ces personnes se trompent. Moi, je ressens... J'entends sa peine, son coeur chante une mélodie sinistre qui me frappe en plein coeur et ça fait mal. Mon père, mon très cher père m'a tué, à coup de Sectusempra, ce qui explique pourquoi elle a voulu le tuer avant ... Enfin, bref. L'ironie du sort, c'est qu'on avait gagné la guerre et qu'on était toujours en vie ... lui aussi, pour mon plus grand malheur. Il était en fuite et avait juré de me tuer, pour ma trahison envers Voldemort, et pour l'affront que je lui avait causé en m'affichant au bras d'une ''Sang-de-bourbe''. Il a bien réussie son coup. Quand elle m'a retrouver, je baignait dans mon sang, déjà mort. Hermione est morte à la seconde où elle m'a vue, enfin métaphoriquement parlant, elle a juré de le tuer, de la même manière que moi. Elle est devenu une autre personne, assoiffée de vengeance. Ma mort à fait d'elle un monstre, un personne emplie de peine prête à tout pour se libérer. Pourtant, c'est lui qui l'a retrouvé le premier, mais elle s'y attendait, elle avait tout prévue. Lucius Malefoy s'est retrouvé désarmé et attaché en moins de deux secondes, par une femmes plus jeune et moins forte que lui. Ça a de quoi énerver, vous trouvez pas ? Elle l'a regardé avec un sourire de haine, presque sadique et lui à dit'':

H- Je pensais que vous vouliez parler ?

LM- Non ! Je veux te tuer !

H- C'est mal partie, vous trouvez pas ? Très bien, moi je vais parler, Autant rentrer dans le vif du sujet tout de suite. Vous voulez savoir ce que fait le sortilège du sectusempra ?

LM- Quoi ?

H- Je pense que vous devez savoir... D'abord, il va lasserez votre peau. Vos poumons vont s'affaisser, ça ressemble à une noyade. Puis, il va vous paralyser. La douleur sera insupportable, mais vous ne pourrez pas bouger. Et l'agonie ? Ça vous sembleras une éternité. C'est quelque chose, n'est-ce-pas ? Un tout petit sort... qui détruit tout ... Il a déchiré ses entrailles. Ôtez sa lumière. Loin de moi. Loin du monde. Désormais une personne qui devrait être là n'est plus. Et une ordure telle que vous est en vie. Un petit sort... Vous voulez le sentir ? '

'' Elle a dit ces paroles avec tellement de peine et de colère dans la voie, que ça a dût le déstabiliser car il n'a rein répondu.''

LM- ...

H- J'ai dit : ''Vous voulez le sentir ?''

'' Il lui a lancé un regard de dégoût et a finit par lui dire'' :

LM- Tu n'est pas comme moi... Tu n'est pas une mauvaise personne. Tu vas tout perdre, même tes amis. Ce n'est pas se que tu veux... Tu ne me tueras pas.

''Tentative toute à fait lamentable pour sauver sa vie. Mon père n'as jamais été très courageux, il aurait tout fait pour sauver sa peau, sauf peut être la supplier, il était bien trop orgueilleux pour ça''

H- J'ai déjà tout perdu. ''A- t-elle dit dans un souffle, comme si elle voulais me parler, comme si elle savait que j'étais là, à ses côtés, puis repris plus fort '' : Vous avez raison, je ne vais pas vous tuer...pour l'instant. SECTUSEMPRA !

'' Hermione a continué comme ça pendant des heures et finalement lui a donné le coup de grâce. Elle a tué, ma Hermione a tué par ma faute, pour moi. Après avoir regarder le corps une dernière foie, elle a transplaner jusqu'à la tour d'astronomie de Poudlard, sa maison depuis la mort de ses parents. Là-bas, ses amis l'y attendaient, Potter, Weasmoche et la fille Weasley. Ils se doutaient bien qu'elle viendra ici, pour l'anniversaire de ma mort. En effet, ça fait déjà un an que je suis mort ... et elle avec. Elle ne fût pas le moins du monde surprise par leur présences et s'est avancé vers le rebord'' :

R- Hermione ? Tu as une sale mine !

'' Elle ne tourna pas la tête, continuant à regarder dans le vide, mais eu un sourire amère.''

H- Oh, merci Ronald.

'' Potter eu l'air de comprendre ce qu'elle venait de faire, car sa tête changea en trois secondes''

HA- Tu... tu as tué son père ?

'' Au moins, lui rentre dans le vif du sujet''

H- C'est mieux comme ça, crois-moi.

'' Hermione finit par les regarder, les yeux brillant de larmes''

R- Hermione tu as besoin d'aide.

H- Je vais très bien, merci.

HA- Je sais ce que tu veux faire, mais écoute-moi ! Tu es forte, souviens-toi que tu es toujours notre Hermione, notre mione.

'' Son visage exprimait la colère, mais surtout la douleur. La douleur d'être toujours là, alors qu'elle n'avait qu'une envie, en finir''

H- Je vais te parler de Hermione. C'est une perdante. Depuis toujours. Les gens se son moqués d'elle, à cause de ses manières timides, de son sang impure, comme ils disent. Mais, maintenant c'est fini... Hermione est morte.

G- On peut t'aider, on peut...

H- Je n'était bonne qu'à une chose... Tous ce qui me faisait vivre...C'étaient les moments...Les moments où Drago me regardait et me faisait me sentir exceptionnelle. C'est moment n'arriveront plus.

HA- Je sais que ça fait mal.

H- Non, tu ne sais pas.

HA- Il y a tant à vivre. Mione, il y a tant de choses...

H- C'est tes arguments ? Tu détestes ce monde autant que moi !

HA- C'est faux !

H- Tu essais de me vendre le monde. Mais, mon monde ... c'est lui ! Juste lui. Je ... désolé. Je suis désolé, mais je peux pas... Je peux plus. Pas sans lui.

'' Elle les a regardé une dernière fois, puis s'est tournée vers le vide, les yeux brillants, on pouvait y voir toute la peine du monde. C'est a ce moment là quelle à sauter, pour venir me rejoindre, le saut de l'ange. Et, il c'est passé une chose incroyable. Pendant sa chute, une boule d'énergie c'est former autour d'elle, diffusant une telle lumière qu'on ne la voyait plus. Maintenant, je comprend. Toute sa peine c'est envolée, tout ce qu'elle gardait à l'intérieur d'elle, et qui lui faisait mal, tout est partit quand elle a su qu'elle allait me retrouver. Ça a causer une sorte de champs d'énergie qui la porté, jusqu'à ce qu'elle touche le sol, morte. Elle n'avait aucune égratignures, il n'y avait pas de sang. On aurait pu penser qu'elle dormait, si elle n'avait pas eu les yeux ouverts, voilés. Les portes de son âme, envolé pour me retrouver.''

Dans le parc de Poudlard, une tombe blanche parsemée de fleurs violettes :

Si-gi : Hermione Jane Granger.
1981-2001
Elle a supporté toute la peine du monde, avant de retrouver son ange.

Voilà, ça vous a plsu ?

C'est magnifique, magique. J'en ai les larmes au yeux, et j'ai eu des frissons quand je l'ai lu I love you

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