[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !!

merci beaucoup c'est tres gentil de votre par

Wow t'es super douée tu nous en fait une autre? Smile

oui je suis en pleine écriture d'un texte au moment ou je te parle.

Voila il est finit donc je le poste, sa n'a aucun raport avec Hp cette fois, c'est une première alors dite moi se que vous en pensés !!!

Un ange s’est pendu.

Jolie Laura, ne dormira pas ce soir. Ces petits yeux seront encore incapables de se fermé sans avoir peur. Il reviendra, il revient toujours. Il apportera encore dans sa chambre de petite fille toute sa peine, toute sa douleur, et tout son alcool.

Cet homme qu’elle admirait tant, avant …

Elle revoie ces yeux, autrefois remplie d’amour pour elle, désormais plein de haine, et de colère pour des choses qu’elle n’a pas faites.

Et comme tous les soirs, elle ne lui en voudra pas. Il lui dira que c’est de sa faute, qu’elle a fait quelque chose de mal, il ne lui ferait pas ça autrement. Encore une nuit où cette petite fille aux cheveux d’ange ne comprendra pas ce qu’elle a bien pu faire de mal. Où cette enfant aux yeux si tristes ne comprendra pas pourquoi c’est a elle de s’excusé pour les gestes qu’il a fait. Pourquoi c’est à elle de le supplier pour qu’il arrête de frapper si fort.

Le petit ange a mal.

Elle entrouvrira sa porte comme tout les soirs, et le regardera vidé sa bouteille de whisky, assie tout seul dans le salon en marmonnant qu’elle n’avait cas pas le provoquer. En se disant qu’il a raison de lui faire mal, qu’elle l’a cherché et Laura retournera dans son lit en attendant dans le noir que la porte grince.

Et après avoir vu les premières larmes de sa fille perler aux coins de ses yeux, il arrêtera et se mettra a genoux, comme tous les soirs, il se mettra à pleurer comme un enfant en lui disant qu’il a mal, qu’elle ne comprend pas qu’il l’aime et qu’il ne veut pas la faire pleurer. Et comme tous les soirs, elle lui pardonnera, parce que cette petite fille n’a que lui et qu’elle l’aime malgré tout. Puis il sortira de la petite chambre, laissant son enfant se noyer dans ses sanglots.

Quelque années plus tard quand la petite fille aura grandit, et que son corps ne ressemblera plus à celui d’un enfant, l’homme lui fera des choses bien pire et elle lui pardonnera, parce qu’elle n’aura pas appris à faire autrement. Mais quand son cœur se mettra à battre pour un autre homme, la jolie Laura comprendra que ce que son père lui a fait n’était pas une preuve d’amour, et elle aura mal, comme autrefois, comme quand ses mains ne servaient pas à la caresser mais à la frapper.

Et l’ange ne pourra plus vivre comme ça, parce qu’elle aime son père mais ne voudra plus qu’il s’approche d’elle, parce qu’elle ne voudra plus qu’il la touche tellement ça l’écœure. Et parce qu’elle ne peut pas vivre sans lui tellement elle l’aime.

Alors par une jolie nuit de novembre, où une odeur de neige flottera dans l’air, la petite Laura sortira de sa chambre, pied nu sur la terre froide. Sa chemise de nuit fouettera ses bras nu, ses longs cheveux seront lâchés au vent, parce que c’est comme ça qu’il l’aime, au naturel et qu’elle veut toujours lui faire plaisir. Elle s’approchera de la corde dont les enfants du quartier se servent pour jouer à se jeter dans le lac. Et posera son pied délicat sur la rambarde, puis passera la corde autour de son cou si gracieux, après une dernière pensée vers son père. Son père qu’elle aime si fort, qu’elle aime à le haire…

Elle sautera.

Et son âme s’envolera vers un monde plein de couleur et de gaité où jamais plus personne n’osera la toucher.

Tu l'a mise!
Elle est superbe, bravo. Je te l'ai déja dit, je me répète mais c'est vrai c'est magnifique.

Putin, Lyra, c'est beau, comme d'habiude I love you

Bon en voilà une nouvelle, c'est de nouveau sur HP on se refait pas , mdr

Le fruit défendu

''Mais de l'arbre de la connaissance du bien et du mal, tu ne mangeras point, car le jour où tu en mangeras, tu en mourras.''

Cette phrase est tellement vrai. J'y ai goûté, au fruit défendu, et je suis en train dans mourir. Mais vous savez quoi ? Si, je devais le refaire, je n'hésiterais pas une seul seconde.

Chaque personne dans le monde, à un interdit, comme la pomme pour Adams et Eve. Oui, j'ai écouté en cours d'étude des moldus. Je disait donc, chaque personne a son fruit défendu, et le mien c'est le meilleur. Non, je vous jure. Mon interdit, c'est Hermione Granger, mon Hermione, ma douce et jolie Hermione Granger. Ça vous en bouche un coin ? Elle est mon exacte opposée. Tout d'abord, c'est une fille, elle a des amis, elle a eu une enfance heureuse et est née de parents moldus. Elle n'était même pas dans la même maison que moi. Mais j'ai croqué dans son coeur, pour qu'il m'appartient à tout jamais. Qui voudrai de la moitié d'un coeur de toute façon, si ce net là personne qui a volé l'autre partie.

Je me rend compte que j'ai passé ma vie à mourir et qu'en une fraction de seconde, elle m'a insufflé l'espoir, l'envie de continuer, elle m'a donné une seconde chance, elle m'a réappris à vivre. Hermione m'a tendu la main quand j'étais au plus mal. Elle m'a dit d'avoir confiance en elle, que l'ordre du phoenix me protégerai si j'étais près à passer de l'autre côté, de leur côté . Vous savez, j'ai confiance en tous le monde. Ce dont je me méfie c'est du diable qui se trouve en chaque homme. Mais, elle avait l'air si sincère. Je croie qu' il n'y a pas de diable en Hermione. Ce qui s'y cache, c'est un ange.

Il arrive un temps où chaque personnes s'éloigne de son destin. En ce moment de désespoir, qui serez-vous ? Relâcherez-vous votre garde pour trouver le réconfort chez une personne inattendue ? Vous ouvrirez-vous aux autres ? Ferrez-vous face à vos plus grandes peur avec bravoure, en allant de l'avant ? Ou succomberez-vous à la noirceur de votre âmes ? J'ai choisit la première solution. J'ai pris la main qu'elle me tendait, et j'ai renié ma famille, mon rang, mon sang. Juste parce qu'elle m'a tendu la main, parce qu'elle m'a montré que je pouvais faire mais propre choix, sans craindre d'être seul à la fin.

Parfois, la vie surgit des ténèbres. Dans ces moment-là, y a-t-il quelqu'un sur qui vous pouvez compter ? Quelqu'un qui veillera sur vous quand vous ferez un faux pas, et, à ce moment-là, qui vous donnera la force d'affronter seul vos peurs. Moi, j'ai eu Hermione, enfin plus pour très longtemps.

Elle m'a montré que je pouvais avoir confiance en moi et dans les gens qui m'entouraient. Que je ne devais pas avoir peur de me montrer humain, de montrer mais sentiments, et je regrette de ne pas l'avoir fait plus tôt. Parce que, vous savez, les regrets ont des formes et des tailles différentes. Certains sont petits, comme quand on agit mal pour une bonne raison. Certains sont plus gros, comme quand on laisse tomber ses amis. Certains, échappent aux regrets en faisant le bon choix. Parfois, il faut nous battre pour accepter le passé. Et, parfois on noie nos regrets en promettent de nous amender. Mais, nos plus grand regrets ne concernent pas ce qu'on a fait, mais ce qu'on a pas fait, ce qu'on a pas dit et qui aurais pu sauver quelqu'un qu'on aime. Surtout, quand on peut voir les nuages noirs s'amonceler au-dessus de leur tête. Moi, je l'ai vu dépérir et je n'ai rien fait.

Je n'ai rien dit et je regrette.

Je regrette simplement de l'avoir haï par le passé, autant que je l'aime maintenant et de ne pas avoir su le lui dire. De ne pas avoir su lui faire comprendre qu'elle était tout pour moi. C'est la seul à m'avoir tendu la main, à avoir vu que je n'allait pas bien et à avoir dépassé ses préjugés pour me venir en aide.

Vous savez, la souffrance peut occuper une tells place qu'on en oublie le bonheur, parce qu'on ne se rappelle pas avoir été heureux. Et puis, un jour, on ressent quelque chose d'autre, ça nous fait bizarre, seulement parce qu'on n'a pas l'habitude, et à ce moment précis, on se rend compte qu'on est heureux. C'est se qui m'est arrivé, je ne comprenait pas se qui se passait, pourquoi ce sentiment ? Pourquoi cette sensation ? Et puis, un jour, elle m'a pris dans ses bras et la j'ai compris, j'étais heureux.

Je croie que je ne l'est jamais été avant elle. Vous avez déjà du le remarquer, mais le bonheur a de multiples facettes. Ce peut être un moment passé entre amis, comme elle sait si bien le faire avec Potter et Weasley, ou la promesse d'un espoir renouvelé, comme elle l'a fait avec moi. Tout ça pour dire, laissez-vous aller au bonheur. Croyez-moi ! Parce qu'il se pourrait qu'il ne soit qu' éphémère. Je ne l'ai pas vu venir et au moment où je me suis rendu compte que j'étais heureux, il était déjà trop tard.

Mon propre père, aveugler par la ''trahison'' dont j'avais fait preuve envers le Seigneur des Ténèbres et ma famille, m'a littéralement jette un sort inconnu de l'Ordre du Phoenix. Un sortilège de Magie Noir, cela va de soit. Et voilà où nous en sommes. Je suis dans un lit d'hôpital, au lieu de me battre pour ce en quoi je croie, pour ceux qui mon donné une seconde chance. Je savais bien que ça arriverais, je savais que je devrais payer pour ma ''déloyauté'' et que le prix en serrais la mort.

Mais, ça n'était pas censé se passer comme ça. Ça devait être brutal, comme si j'avais été renversé par une voiture moldue. Je ne devrais pas avoir tant de fièvre, ni cette terrible sensation de meurtrissure interne.

Normalement je devais mourir d'un coup, ou me sentir de plus en plus faible jusqu'au point où cela me deviendrait bien égal. Mais ça ne m'est pas encore égal.

J'essaie de penser à des chose simples et heureuse, un bonhomme de neige, des feuilles, ses yeux, ses magnifiques yeux. Mais ce sont des images effrayantes qui surgissent : des arbres mort, de la neige tachée de sang, ses larmes. La mort me cloue sur un lit d'hôpital, plante ses griffes dans ma poitrine et s'y installe. Je ne savais pas que cela ferait si mal. Je ne savais pas que cela anéantirait tout ce que j'ai pu vivre de bon dans ma vie...

Sauf elle.

Je me retire en moi...

Les minutes passent...

Ça y est le moment est venu, pour de vrai , et peu importe si, oui ou non, les gens se souviennent de moi comme on me l'a tellement promis, cela n'a pas d'importance, de toute façon je ne le saurai jamais, je serai déjà partie. Mais, une part de moi espère tout de même, qu'elle se souviendra. Que parfois, quand elle sera seul dans sa chambre, elle se rendra compte que je lui manque. Et, qu'une larme, petite ou grosse, viendra perler à ses yeux. Et, ses larmes ne serons rein que pour moi ... rien que pour moi. Parce que mon plus grand bonheur, serai qu'une partie d'elle parte avec moi, peut importe où je vais. Car même l'Enfer, ressemblerai au Paradis, si elle était à mais côtés.

Cette fois c'est la bonne, je m'en vais...

La laisser partir...

Les laisser tous partir....

Alors ça c'est en plus, je sais pas si c'est bien de le mettre :

5 ans plus tard :

Comme tous les ans, à la même date, à la même heure ; une jeune fille au cheveux en batailles et aux yeux chocolat, entre dans sa chambre, s'assoie devant son miroir et laisse couler ses larmes. Elles sont parfois petites, parfois grosses, cela dépend de la tristesse qu'elle a en elle. Mais, le plus important c'est qu'elles ne sont que pour lui ... que pour lui !

C'est beau comme histoire. Et je suis fan de la façon dont tu écris!

merci a otue pour tout ces compliemnts c'est trop gentil.

je vous en met une toute nouvelle sortit de ma tête hier

Ploc, Ploc, Ploc

Le sang coule sur le carrelage, inondant la belle la salle de bain de sa mère.

Ploc, Ploc, Ploc

Le sang coule dans l’eau, goutes par goutes, douleurs par douleurs.

Il n’arrête pas de couler, traçant des cercles concentriques. Il y en a tellement. Il se repend, s’insinuant dans les recoins, comme la souffrance qu’elle ressent, celle que personnes ne voit et qui la ronge de l’intérieure.

Assise seule dans sa baignoire, le bras pendant sur le rebord, le recouvrant d’un pourpre délicieux, Sarah pleur. Elle a les yeux inondés de larmes et le cœur en morceau depuis bien trop longtemps. Dans son autre main elle tien un petit objet. Les si jolie ciseaux de couture que ça maman utilise pour broder. Que dira telle quand elle retrouvera sa fille avec dans la main ses outils de travaille. Voilà les pensés de Sarah à cette instant : ‘’comment maman réagira ? Est-ce qu’elle sera triste ou fera t’elle encore comme si je n’existais pas ?’’

Et puis ses pensé se brouilles et elle commence à oublier. Sa main tenant les ciseaux se pose de nouveau sur son bras et trace un parfait sillon sur sa peau blanche, ouvrant une nouvelle blessure et libérant sa douleur. Sarah aime cette sensation de brûlure sur sa peau, cette douleur si puissante quelle fait disparaitre les autres, celles qui compriment son cœur, et l’empêche de respirer.

Elle ne ressent plus de peine, elle ne ressent plus grand-chose. Son corps est engourdi, comme flou. C’est larmes ne s’épuisent pas, elle coule dans l’eau parfumée comme une rivière rejoindrai l’océan, disparaissant dans les profondeurs rouges. Ses cheveux autrefois si beaux goutes comme le sang de ses poignés sur sa poitrine découverte, parsemant sa peau de frissons. Son corps glisse lentement dans la baignoire, l’eau recouvre ses oreilles, produisant un son apaisant. L’odeur des bougies ce répandant dans l’air, comme des volutes de fumées. Cette sensation de plénitude est apaisante. Tout est calme, il ni a que le bruit de l’eau et du sang goutant sur le carrelage.

Sarah plonge toute sa tête sous l’eau, elle veut que tout finisse, que tout disparaisse. Elle veut que la douleur arrête de dévorer sa poitrine, que le monstre qui se cache en elle ne lacère plus son cœur à cou de crocs.

Le souffle lui manque, elle se calle au fond de la baignoire, mais l’eau lui fait mal. Et puis au dernier moment elle se dit qu’elle ne veut pas en finir comme ça, que c’est trop bête, que tout ne peut pas être si nul. Qu’elle peut réparer sa bêtise. Mais la pression de l’eau est trop forte et ses forces trop faible pour remonter a la surface. Un bruit retenti, résonnant dans l’eau. Elle ouvre les yeux et regarde le plafond, toutes les lumières son allumées, puis un cri est poussé.

Sarah ne voit plus rien, elle s’endort lentement quand une personne la tire de la baignoire, tachant sa chemise de rouge, mouillant son pantalon. Elle n’a plus de force, se laisse balloter dans les bras de sa mère, qui l’implore de rester en vie.

Ploc, Ploc, Ploc
Le sang coule encor si fort.

Sarah rouvre ses yeux et les fixe à ceux de sa mère- en un regarde d’excuses- qui continue à lui crier de respirer, de respirer encore et toujours.

De respirer …

Ploc, Ploc, Ploc

Le sang ne coule plus.

Ploc, Ploc, ……

Son pou ne bat plus…

Ploc …

Son cœur non plus …

Je te le redis ici. Vraiment, ce texte est magnifique ma Lyra. T'es super douée, et tu écrit sublimement bien. Tes textes me donnes chaque fois des frissons. Vraiment, bravo I love you

T'aimer à en mourir !!!

« Je ne suis plus que faiblesse. Je ne suis plus que tristesse, et douleur. Que solitude et souffrance.

Je suis morte, sans toi qui a brûlé mon coeur au fer rouge. Je me consume, je disparais. J'ai fait semblent de ne rien ressentir, de ne pas mourir quand j'ai lu dans tes yeux comme dans un livre ouvert que tu allais me quitter. Que tu allais partir et ne jamais revenir ».

'' Et je n'ai rien dit, je n'ai rien fait à par te regarder me briser le coeur, le détruire comme on détruit un château de sable, comme tu as détruit ma vie. Ton silence m'a détruite, il m'a rendu inconsolable. Inconsolable de trop t'aimer. Inconsolable de ne pas avoir su te garder et d'avoir perdu tout ce que j'aimais. Inconsolable parce que tu n'as pas su m'aimer, parce que tu n'as pas voulu m'aimer. Au fond ce n'est peut-être pas si grave que ça.''

'' Tu vois, la vie m'a briser, mais elle continue. Je devrais profiter de chaque secondes avant de quitter se monde, pour retrouver celui que tu as laissé loin derrière toi, celui où nous étions heureux, celui on nous étions ensemble contre le monde. Maintenant, c'est toi et le monde conte moi. Alors, oui je profite de chaque seconde, avant que la vie ne m'abandonne, comme tu l'as fait . Je la sens déjà, légère et discrète, quitter mon corps, bouts par bouts, muscles par muscles. Je la sens être remplacée par ce poison, lourd et perfide, qui vient s'insinuer dans mes entrailles, qui les contamine petit à petit. Qui les consumes.

'' On fond de moi je resterai inconsolable de t'avoir perdu. Et j'espère que ma souffrance viendra te hanter. Ma mémoire me fait défaut, le poison a atteins tout mon corps. J'arrive tout de même à écrire, peut-être qu'il ne paralyse pas. Je ne sais pas. Et si tu ne m'aimes plus c'est tant pis. Pourquoi ai-je écris cette phrase ? Je ne sais pas. Je ne sais plus. Ça semble fou, mais l'amour s'évanouit, il s'en vole loin de ma mémoire. Et ça fait du bien. Ça me soulage de ne plus avoir cette souffrance, cet amour non partagé en moi. Je glisse ces mots sur du papier, pour que jamais tu n'oublie que je t'ai aimé à me damner. Que mon coeur saignait. Qu'il était malade d'une maladie incurable : LA PASSION. J'ai compris que le jour où je t'ai donné mon coeur, j'ai donné un nom au mal. Je lui est permit d'exister, de se développer, de s'insuffler au souffle de la vie et de me condamner.'

'' J'ai mal. J'ai mal de toi et de ton absence. J'ai mal de ce poison qui me consume, de ce venin qui me dévore et qui m'emporte loin de la vie. Je n'ai plus de temps à perdre, ni à te donner. Je n'ai plus rien à t'offrir. Tu m'as vidé. Tu m'as vidé comme il est en train de me vidé de toute existence. Tu m'as pris m'a joie de vivre et la petite flamme qui brûlait dans mes yeux. Tu l'as noyé il y a bien longtemps, bien avant que ce poison ne fasse cesser les battements de cette chose que tu m'as laissé pour coeur, de cette chose meurtrit à tout jamais. Mon souffle ralentit, mon coeur ne bat plus comme avant. Il est lent, il est lasse de vivre.

'' Alors je vais finir cette lettre sur ces mots: ma mort est le fruit d'un amour trop lourd, un amour meurtrier, donc tu est le seul responsable. N'oublie jamais, je t'ai aimé à en mourir. Pourras-tu vivre avec ça ? ''

''Ta bien aimée. Que tu as voué aux enfers !''

Drago Malefoy referme la lettre dont l'ancre a été diluée, par la douceur des larmes tombées de ses yeux, généralement si froid. Il pleure. Lui que la vie a endurcie. Que la vie a brisé, comme il l'a brisé. Qui a appris par un père trop violent et une mère non aimante, à garder un masque aussi froid que le gris de ses yeux, pleur. Parce que pour la protéger il l'a quitté. Parce que pour la protéger, il l'a tué. Pas directement, mais comme elle l'a dit sa mort est le fruit d'un amour meurtrier donc il est le seul responsable. Un amour meurtrier mais tellement partager. Ce garçon, pas encore adulte, mais plus vraiment enfant, donc le coeur a été mutilé par le seul faite d'avoir du la quitter en lui disant, avec tout le méprit dont il savait faire preuve, qu'il ne l'aimait pas. Qu'il s'était servie d'elle, et que tout ces mois de soit disant amour n'était que mensonge, pleur la seul personne qu'il n'est jamais aimé. Oh, oui il l'a aimé et les mots qu'elle a couché sur le papier lui transperce le corps comme des millions de lames acérées. Lui aussi a mal, parce qu'il l'aimait comme un fou et qu'il aurait donné sa vie pour elle. Mais la guerre l'a obligé à mentir, à partir sans se retourner. Parce qu'ils n'était pas du même côté, parce qu'ils n'étaient pas sensés s'aimer et que leur idylle avait été découverte par le mauvais camps, celui de la mort, son camps. Alors il lui a bisé le coeur pour son bien, pour qu'elle vive. Il pleur parce qu'en lisant cette lettre, il s'est rendu compte qu'il l'a tué à petit feux. Il a voulu la garder en vie,mais elle est morte quand il est parti.

Mise sur le fo', ou envoyé par MSN elle est toujours aussi belle. BRAVO ma Lyra, tu écris toujours aussi divinement bien I love you

Je vais vraiment me répéter mais tu écris super bien. C'est puissant ce que tu écris.

Leur bébé

Première contraction !!!

C’est maintenant, tout de suite !!!

Deuxième contraction !!!

Elle n’aura plus d’attente interminable avant de voir le fruit de son amour.

Son bébé, son bébé, dans quelques instants seulement. Son amour, Son bébé…

Troisième contraction !!!

La douleur

La joie

Quatrième !!!

Le papa n’est toujours pas là !!!

Cinquième, sixième, septième ….

Tellement qu’elle ne conte, juste la douleur et l’envie …

Un trop plein d’amour, près a explosé et ….

ENFIN!.... Enfin, il est là. Elle sent son corps mouillé sur elle, sa chaleur, son poids. Elle rayonne de bonheur, c’est yeux pleur de soulagement. Elle attend son premier crie et puis non, il y a quelque chose d’anormale. Pas de crie, pas de chaleur, pas de mouvement, pas de battement de cœur. Le silence………… Rien n’a par le vide et le silence. Et puis tout repart autour d’elle, les corps bougent et le sien reste inerte.

Elle s’affole, crie son nom -qu’elle avait soigneusement choisit, il y a des mois de cela-. Son cœur bat la chamade tendit que le sien n’émet aucun battement. On le lui prend des mains, on lui enlève son enfant. On lui vole son amour.

Et toujours pas de crie, pas de bruit qui indique qu’un poumon se remplie d’aire. Pas de battement de cœur prouvant que son enfant vie.

Tandis que la jeune femme pleure sur la table, en suppliant le médecin du lui dire ce qui se passe, de lui expliquer pourquoi son enfant a elle ne veut pas respirer ? Pourquoi il ne veut pas rester dans les bras de sa maman, bien au chaud sur son corps, enveloppé de son amour, le médecin se bat lui aussi pour faire respirer le magnifique nouveau né. Et toujours rien n’a par le silence d’un cœur mort avant d’avoir vécu.

Alors doucement le médecin se tourne vers la jeune fille qui ne pleure plus de joie mais de panique. Il la regarde dans les yeux et ouvre la bouche, mais aucun son n’en sort, juste une grande tristesse peinte sur son visage. Et la maman du nourrisson crie, pleure, hurle son malheur. Elle le supplie de lui mentir, de lui dire qu’il vit, que son petit cœur d’enfant bat, que son fils est beau et en pleine santé. Mais le médecin ne peut lui mentir. Il place alors le poupon dans ces bras et se retourne pour leur laisser un peut d’intimité.

Et la maman pleur, pleur sans s’arrêter, ne pouvant quitter son fils des yeux. Caressent ces doux cheveux d’ange, inondant son petit corps de grosses larmes, le secouant de tremblement incontrôlé. Elle le serrant si fort que la jointure de ces doigts en devient blanche.

Puis une porte s’ouvre, et le papa fait son apparition, encore tout tremblant de l’excitation d’avoir un bébé et du désespoir de l’avoir perdu. La maman ne peut toujours pas lever les yeux, ne trouve rien d’autre à dire que :

« On la perdu, perdu. Comme on perd ces clefs de voitures, ou son portefeuille, tu ne trouve pas que cette expression est atroce ? »

Puis elle redouble ces pleurs et le père ne trouve rein d’autre à faire que la prendre dans ces bras et regarder son poupon dormi de son premier et dernier sommeil.

C’est ainsi que cette nouvelle famille perdit le plus beau cadeau que la vie leur eu donné, ainsi que leur innocence et leur joie de vivre.

Après ça, les deux parents ne seront jamais plus comme avant. Bien sure ils auront d’autres enfants, bien sure ils se remettront à sourire et même a rire. Mais leur cœur restera à jamais détruit par leur premier, leur bébé, mort avant d’avoir vécu.

Ah, t'as modifié quelque truc ! Mais c'est super Very Happy

BRAVO

Magnifique ma lyra magnifique !! Ils n'y a pas d'autre mots.
Tu écrit formidablement bien. C'est vraiment, vraiment beau !
Bravo I love you

BOn voilà, sa fait longtemps que j'ai pas poster içi, je vien d'écrire un petit truc, pardonner moi pour les fautes, mais je n'est plus Word pour l'instant donc je peut pas trop me corriger, sachant ue je suis une vrai buse en orthographe !!

Voila j'espètre que sa va vous plaire !!!

Tu m'as dit un jour, que ne pensai plus a moi mais à une autre . Que tu ne souriais plus quand tu me voyais, que mon parfum ne te faisais plus rien. Et que peut être tu avais oublié ton amour pour moi.

Que c'était fini ... juste fini.

Et moi, je suis restée là, j'ai attendu que tu face ou dise quelque chose. Mais tu n'as rien fait, tu n'as rien dis.

Tu es juste parti, et mon coeur c'est mi a brûler, comme on brûle un bout de bois, il c'est consumé, transformé en cendre. En cendre de nous, de notre histoire, de notre amour.

Et puis un autre jour, à une autre heure, dans un autre endroit, tu m'as dis que ça n'était pas ses cheveux que tu voyais, mais les miens. Que ça n'était pas la couleur de ses yeux que tu aimais, mais celle des miens. Que son rire ne résonnait pas comme le mien à tes oreilles. Que t'as peau ne frissonnai pas au contacte de la sienne, et que la mienne te manquai. Que son parfum ne te fesai pas voyager comme le mien. Et que ca n'était pas son prénom que tu criais, quand dans tes cauchemards tu cherchais du réconfort. Puis finalement, tu as dis que tu ne m'avais pas oublier, seulement effacé de ta mémoire, mais que la mémoire c'est comme un boume rang, sa revient en pleine face et sa fait mal.Tu m'as dis que tu étais en manque de moi, de mon souffle, de ma voie, de mon coeur qui bat, que tout ça n'était qu'à toi.

Et tu es restée là, tu as attendu que je face ou dise quelque chose. Mais je n'ai rien fait, je n'ai rien dis. Tous ces mots, tu venais de dire tous ces mots dont j'avai temps revée.

Et ...

Mes larmes se sont misent à couler, mon âme c'est mise à saigner, et mon coeur lui ... avait déjà brûlé.

C'est superbe, t'as écrit ça en combien de temps ? J'aime beaucoup.

je sais pas en 20 minutes peut etre, j'avai deja rever de quelque chose y ressemblant et puis j'y est repenser hier alors j'ai écrie.

Dis donc, tu mets pas longtemps pour écrire. Moi ça me mets un temps fou ! [Plus le recopiage sur l'ordi, parce que j'écris toujorus sur des feuilles]

Ba moi sa dépend, mais comme hier j'était sur mon ordi c'était déjà tout taper, oui c'est vrai je l'ai écrie vite, mais ça dépend quoi parfois je met beaucoup plus longtemps lol

en tout cas merci ma mannou'

De rien ma belle, j'aime ta manière d'écrire

C'est vraiment magnifique lyra , et je vois que tu affectionne un couple peu commun

Hermione / Drago

ça change au moins

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! - Page 2 174401

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! - Page 2 174401

OUi en effet j'adore Hermione et drago alors les deux enssemble [Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! - Page 2 459975

Et puis surrout je trouve que c'est un couple maudie et bien plus alors voila.
Merci du compliment au faite , hihihi

bref, un autre petit texte :

( pardonner les fautes, comme j'ai dis plus haut je n'est plus Words alors pâs de correcteur d'orthographe)

On croit que la vie est simple. Que la vie est belle, que tout nous appartient, et que si on veut quelque chose on peut l'obtenir sans aucun efforts. Mais, tout ces reves ne sont qu'un tissu de mensonges.Les gens ce voilent la face, pour ne pas voir que la vie fait mal,qu' elle est noir et cruel, que rien ne nous appartient, si ce n'est notre propre malheure. Et pourtant, elle est ce qu'elle est, on l'a toujours su, ni plus ni moins et on fait avec. On a pas le choix, il faut vivre pour entre voir ces petits moments, ces infimes moment de bonheure, parcque c'est ça qui nous fait continuer qui nous fait avancer et nous permet d' endurer toutes les soufrances que la vie nous apporte. C'est ça qui rend le monde beau. La vie fait mal c'est un faite, elle est brusque, violente et parfois dénuher de sens. Mais voir le bonheure illuminer le visage des autres, sentir dans l'air comme un parfum de plaisir, de joie. Apercevoir un sourir à la comissure des lèvres, et découvrir des yeux brillent d'amour, c'est ça qui rend la vie belle. Parcequ'elle est belle la vie, elle est belle. Elle est ephémère, et parfois incompréhensible, mais elle est belle, ne l'oubliez pas ...

Sniff

[Roman et textes] Mon coeur saigne en secret des mots inavouables !! - Page 2 562743

C'est vraiment beau ce que tu écris là.

Merci ma lectu

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