[Petit écrit pour passer le temps] Tenshi

Voilà... voici un apercut de ce que j'écris depuis 4 voir 5 mois, c'est le premier chapitre!!! je l'avais bien dit que je le mettrais un jour, Miss-T la lu, et la trouvé bon, donc à vous de juger... je suis prète à tout entendre!!!

Petit résumé vite fait de Zone d'Ombre:

En première vu ca commence à peu près comme le journal d'un vampire,
et l'héroïne, Elisabeth Lefèvre, rencontre un étrange personnage, jusqu'au jour, ou ce dernier vient lui sauver la vie alors qu'elle va se faire tuer... elle apprend tout de lui et qu'il est poursuivit pour des Chasseur de Vampires, pour quel crime? elle qui croit que c'est un simple sauveur, elle voit qu'il a fuit Grasse, et elle apprend au final que des siècles auparevant, il n'était pas ce qu'il prétent être aujourd'hui, un bon petit vampire...

Voici un Extrait du Chapitre Un

Si vous voulez voir la suite envoyez moi un message Privé

“Bonjour, il est huit heures, et aujourd’hui une nouvelle journée s’avance, bienvenue sur Radio Hit, dans un court instant la météo...”
Je donnais un grand coup sur le poste, et dissimulait mon visage dans l'oreiller. Je savais déjà quel temps il allait faire aujourd'hui, le même qu'hier . Cela paraissait si probable.
La voix de mon père me parvint nettement du rez-de-chaussée. A croire qu’il se trouvait juste derrière ma porte de chambre . Je me redressai comme un pantin et fit glisser mon oreiller au sol dans un bruit sourd. La pièce m'apparut . Le papier rose orangé des murs me fit grimacer et les rideaux encore tirés me laissait paraître les premiers éclats du jour, grisâtre bien entendu. Avec le silence qui s'était finalement installé. J'entendis même le martèlement des gouttes de pluie contre les carreaux.
J'étais revêtue et prête à affronter la journée infernale qui s'annonçait. Je passai un coup de brosse dans mes cheveux châtains clairs, raides comme des baguettes. Mon visage dans le miroir se refléta, pâle et vitreux, comme si j'étais malade.
Mon père se tenait en bas, dans le hall d’entrée, enfilant son imperméable marron . Ses cheveux étaient en bataille, encore humide de sa douche . Ses yeux se tournèrent vers moi avec douceur, et un sourire jovial s’afficha sur ses lèvres.
- Salut Élisabeth! J'espère que tu t'es couchée de bonne heure . À voir la tête que tu as, je pense que non...
Je soupirai, je m'étais couchée sur les coups de trois heures du matin, à cause d'un mauvais rêve et je devais avoir une tête d'enterrement, d'où mon teint vitreux . Je descendis enfin les dernières marches pour me retrouver près de lui.
- Rentre directement à la maison,...
- Après l'école, je sais! Le coupai-je en étouffant un bâillement.
Mon père, médecin de son état . Son seul repère, l'hôpital depuis le décès de ma mère. Je ne me souviens pas très bien d'elle étant encore un petit bébé le jour de son départ . De plus , mon père ne parlait jamais d'elle , et je ne posai jamais de question à son sujet . Il m'a donc élevée, seul, malgré les difficultés et maintenant que j'étais assez grande, il passait ses nuits et ses journées à l'hôpital, réapparaissant de temps en temps dans ma vie. Il me connaît très peu, et cela m'allait très bien.
- Bon.... reprit-il en se passant une main dans les cheveux l'air gêné.
Il sortit de la maison, je restai sur place à fixer droit devant moi avant d'entendre le grondement de sa mercédès.
J'étais de nouveau seule, dans cette immense maison, construite par mon père pour ma mère à leur mariage . D'ailleurs, des tonnes de photos de ma mère jonchaient le montant de la cheminée, cela me mettait mal à l'aise, sur le fait que je ne la connaissais pas énormément . J'avais les mêmes traits qu'elle. Mes cheveux, je les tenais de mon père, Jonathan . J'avais la peau pâle comme la neige. À dire vrai, je détestais le soleil. L'humidité et la pluie me convenaient mieux , mais trop, cela dépassait les limites...

coucou ten'shi!
alors après lecture de ton extrait, mes premières impressions: snif, snif, ce n'est que de la description, l'histoire n'est pas engagée. tes phrases sont un peu longues, bien que ponctuées de virgules (notamment la dernière légèrement proustienne vue la longueur)^^. il y a certaines phrases qui mériteraient un remaniement, mais l'ensemble est agréable à lire.
j'attends la suite

Merci bien, je vais essayai de voir cela!! ^^ et bien la suite sera quand message privé!

pourquoi ne pas la poster ici?

Le chapitre deux est en écriture:

Suite du Chapitre 1

Je n’avais pas encore le permis, donc question transport, je me devais de prendre l’autocar, ma voiture, m’attendai pour l’année prochaine quand j’aurai mes dix-huit ans. Une super peugeo, un peu pourrie, qui se tanait dans la cour, mon père l’utilisait de temps à autre, histoire qu’elle ne meurt pas.
La journée allait être bien longue. Je le pressentais durement au fond de moi. L'autocar était blindé de monde, qui se chamaillaient, parlaient fort, et moi, placée sur le côté de la vitre à observer le paysage nuageux de Grasse.
Je détestai ces journées éternellement barbante, et le fait de voir toujours les mêmes têtes et ce quotidien incessant.

J'avais une nette impression de déjà vu en arrivant au lycée.
Je restai planté là, et j'avais une vague impression que tout passait vite autour de moi, les gens semblaient flou, je ne l'ai percevais plus, peut être le fait de les voir tout les jours. J'avais besoin de renouveau.
Le lycée était immense, accueillant plus de 3000 élèves environs et se trouvait à la sortie de Grasse. Pour sûr, c’était le meilleur établissement publique de la ville, et même s’il y avait pleins d’élèves qui ne se cotoyaient pas, on savait quand quelque chose aller ce produire.
- Elie?
Je me détournai de mes pensées, près de moi se trouvait Marie Dale, elle était plus vieille que moi d'un an et on avait pratiquement la même taille, ses cheveux bruns coupé court et remontée en pointe dans sa nuque sur sa peau pâle, lui donnait des allures de poupée de porcelaine. Ses yeux étincelants d'un marron clair bridé, lui donnait des airs de fée. Elle était gracieuse dans sa jupe de toile violette et chaussette rayé noir et blanc, avec son haut tout aussi violet et un chemisier blanc, elle avait un sourire enfantin sur les lèvres, sa tenu lui allait à ravir, elle me faisait rappeler les photos de site que je visitais.
- Tu es encore dans ta rêverie?
Je l’observai, c’était un reproche. Mes pensées m’appartenait, et personne n’était là pour me juger, le flou des gens disparut à la détonnation de la voix de Marie, et je pus apercevoir leur visage.
- Tu as passée un bon week end?
J’avais nul envie d’en parler pour le moment, mon week end m’avait semblé bien long et être un terrible refrain d’une chanson, qu’on ne se lasserait plus de fredonner. Il avait même plu toute la journée de samedi et pour couronner le tout, j’avais du réviser tout le week end un examen de science nat’.
Je ne relevai pas sa question, quelqu'un c'était joins à nous, cheveux sablé, dont une mèche lui descendait sur le visage, lui recouvrant ses yeux marron foncé, son sweet shirt serrait montrait qu'il n'était pas athlétique, il était très mince et semblait ravit.
- Salut la compagnie!
Thomas Boinet me lança un large sourire, que je ne rendis pas, il était très heureux de me voir aujourd'hui comme tout les jours d'ailleurs. Il bavardait avec Marie, mais déjà, je ne les écoutai plus. Je regardais d’en d’autre direction, essayant de remarquer un nouveau visage dans cette foule d’élèves. A les voirs, tout le monde se ressembler, c’était étrange. Car même si on s’habillait différement, on se ressemblait tous.

Le cours de maths avait seulement débuté et pourtant, le fait d'être installée et avoir à peine ouvert mon livre, que je pressentais que l'heure allait durer une éternité.
Près de moi, Marie se concentrait sur le sujet et non loin de nous, deux garçons se chamaillaient comme des gamins. J'étais plus concentrée sur eux et leur dispute, que sur le cour où le professeur Colin faisait claquait sa règle sur le bureau pour reprendre notre attention. Comme toujours j'étais transparente, il ne m'interrogeait pas, c'était un soulagement d'ailleurs parce que je savais éperdument que je répondrais à côté.
Je regardai inlassablement les aiguilles de l'horloge qui se tenait au dessus de la porte, la nette impression qu'elle restait sur place, ou ne bougeait pas du tout.
Dehors, la pluie tomber dru, à croire qu'elle continuerait sur sa lancée toute la journée, j'avais l'habitude. Parfois, je restai dessous, avec le pressentiment qu'elle ne m'éteignait pas du tout, comme si je ne la sentais pas venir à moi.
Je dus m'assoupir, car je n'avais pas avancé sur mon sujet de math, et la sonnerie,
sorte de bourdonnement qui faisait penser à une alerte à la bombe, retentissait déjà.
Encore endormit, je suivais comme un automate, Marie, qui me parlait, je ne comprenais pas du tout de quoi elle pouvait bien discuter, et elle me laissa divaguait jusqu'à mon prochain cours de la journée.

Wow

une autre suite? Tu as bien aimé ou pas? besoin d'avis please

Moi j'ai aimée

Encore une Suite du Chapitre 1

Le réfectoire, bien entendu, était plein à craquer, je balayai la pièce du regard. Restant avec mon plateau à la main, espérant, pour une fois, voir un autre visage que ceux que je connaissais déjà. Mais bien entendu je n'avais pas entendu parlé de nouveau aujourd'hui.
- Elie, qu'est-ce que tu attends?
Sophie passa près de moi, son plateau à moitié rempli, elle semblait heureuse aujourd’hui. Ses cheveux long, était attaché en une sorte de natte grossière, elle me lança un sourire moqueur. D’ailleurs depuis quelques temps, elle et moi ce n’était plus trop de l’amitié. Je lui avais encore piqué la place de délégué du lycée, qui consisté à plein de chose. Puis elle se laissa tomber sur la chaisse, à notre table habituelle. Marie la rejoignit peu de temps après, au milieu du réfectoire.
- Samedi, soleil! Annonça quelqu'un près de nous.
Je secouai la tête, et le dévisageais, Anthony Foremann était plus âgé que moi lui aussi, ses yeux étaient pétillant de malice, à croire qu'il enviait déjà le week end et le soleil.
- Anthony, s’écrit Marie, tu as réussi à avoir la camionnette?
- Oui, et j’ai bien envi de me rendre à la plage!
La plage, bien entendu, sous le soleil de plomb, elle se trouvait à Canne, et on s’y rendait quand vraiment la journée n’était pas tellement pluvieuse. La mère d’Anthony était météorologue, et présageait toujours nos sortie. Mais seulement voilà, parfois tout était faux, comme le week end dernier, et le week end précédent.
- Tu es sûr? Lui lança Thomas qui s’attablé près de moi.
- Je pense que cette fois, c'est bon, il va faire beau samedi!
Je n'écoutai plus vraiment mes amis qui débitaient sur se sujet. Préfèrent m'occuper de ce qui se passait autour de moi, le brouhaha des autres élèves, qui sortaient et rentraient dans le réfectoire, par exemple et les regard que Sophie lancait à Anthony, comme si, à la seconde, elle allait le dévorer.
A Grasse, il pleuvait souvent, le soleil ne trouvait pas tout le temps le chemin qui menait ici, Grasse se situe au sud de la France dans les Alpes-Maritimes, et elle est brumeuse, pluvieuse, verte, mais c'est mieux d'être ici qu'à Canne, où le soleil brille inlassablement.

J'étais placée sur le bord de ma fenêtre de chambre, la journée s'était finalement terminée, moi qui pensait qu'elle n'avait pas de fin, mais tout à une fin, même la journée. Je regardai au loin, la pluie tomber sur le sol de la pelouse, dans un bruit sourd et mat.
La ville était silencieuse, hormis les cris des oiseaux au loin qui partaient se coucher.
J'observai le ciel grisâtre, noir, comme s'il allait s'ouvrir sur un autre monde, un univers étrange, que seule moi pouvait toucher. La lune montait, elle était pleine. Dans son jaune pâle. Le vent me caressa le visage, si doux et si froid en même temps. Je fermai les paupières et humai l'air frais, l'odeur de la pluie me chatouillai les narines.
Des phares et un bruit de moteur, me fit rouvrir les yeux, et à contre coeur je quittai mon poste et refermai la fenêtre.
J'allumai la lumière du palier.
- Elie? Me héla une voix.
Qui cela pouvait-il être à part moi? Je regrettai déjà d'avoir quitter ma tour, mon endroit. Au rez-de-chaussée, mon père m'apparut, fatigué, il était rentré ce soir.
- Salut... Souffla-t-il en accrocha sa imperméable à la patère.
Je ne relevai pas, j'avais passée une journée ennuyante, à croire que la vie ici tournait en boucle dans un quotidien sans fin. Il se débarrassa de ses chaussures d'un geste las et s'installa dans le divan, qui se tenait non loin du hall face à la cheminée. Notre conversation se résumait à cela, le bonjour et le bonsoir, parfois il me faisait des recommandations, mais jamais plus ni moins, ou alors c'était vraiment rare quand il me parlait longtemps, j'avais prit l'habitude de manger seule tous les soirs.
- Je perturbes pas trop tes projets? Questionna-t-il.
Je l’observais surprise qu’il me demande cela, et me dirigeais vers la cuisine en trainant les pieds.
- Pas du tout, soupirais-je en fouillant dans le frigidaire.
- C’est juste que je suis fatigué!
Je ne relevais pas, il n’y avait rien à manger pour ce soir, je n’avais pas fait de course ce week end, trop préoccupée par mon devoir de Science nat’ de demain.
J'ignorai complètement mon père, assit près de moi, personnes ne parlaient, même pas moi, je parlais si rarement. A quoi bon s'efforcer de parler, je ne savais même pas quoi lui dire, comme s'il était un être inconnu, à croire qu'il n'était pas mon vrai père. Je connaissais rien de lui, juste pour le fait qu'il était médecin et on en restait là, pourtant ce soir, j'avais envie d'une conversation. Hésitante, je jetais un coup d'oeil à ma droite, Jonathan mangeait dans un silence religieux et fixait le vide.
- Co... Comment c'est passée t'as journée?
Il m'identifia un long moment, il se demandait sûrement si c'était moi qui avait prononcé ces mots ou bien s'il n'avait pas rêvé d'une voix lointaine.
- Bien, merci!
Je rougis jusqu'aux oreilles et me remit à manger, c'était au moins cela de fait, passer mes soirées seule m'étaient devenu une habitude.

Super suite!

J'ai editer mes anciens postes... donc a relire, car j'ai changer des phrase et rajouter des choses ect... j'ai refait mon chapitre 1... Qui n'ai pas tellement finit... je vous mets tout de même une suite du chapitre 1, l'arrivait de Victor a Grasse ...

En arrivant au lycée ce matin là, tout me semblait étrangement différent. Aujourd’hui, tout le monde se parlait, murmurait sur mon passage, il ne parlait pas de moi, loin de là, mais quelque chose de nouveau venait d’arriver.
- Elie! Tu es au courant?
Je me tournais vers Marie Dale, qui me faisait face tout en s’approchant de moi. Un sourire dessiné sur ses lèvres.
- Non... Que se passe-t-il?
- Il y a un nouveau, sourit-elle. Anthony en a entendu parler dans le bureau de la secrétaire. Il se nomme Victor Fisher!
Je l'observais, d'abord surprise, il était vraiment rare qu'un nouveau arrive en cour d'année. On était en plein mois de mars, qui pouvait bien arriver comme ça? Anthony se trompé surement. Mais j'eus ma réponse. Il sortait du bureau de monsieur Politérra, le directeur. Un frisson me traversa l'échine, est-ce que j'étais la seule à avoir ressenti cela? Il était magnifique, sa peau était pâle presque transparente comme le fluide de l'eau clair des sources froide des alpes, des cheveux cuivrés, aux mèches rebelle, des yeux sombres, quasiment noir qui me fit l'effet, pendant un instant, qu'il portait des verres de contact. Il était habillé serrait, montrant qu'il était sportif, tout vêtue de noir de la tête au pieds, il aurait pu jouer le rôle d‘un cambrioleur s‘il aurait été acteur, mais il se trouvait au lycée. Il était beau, et le fait de le penser ainsi, me fit faiblement rougir avant de croiser vraiment son regard.
- Qu'il est beau! Me murmura Marie.
Je sortis de mes pensées, et je frissonnai de nouveau avant de remarquer enfin sa présence à mes côté. Tout le monde l'observait. Je détournai mon regard de l'inconnu qui venait de nous apparaître, pour fixer Thomas Boinet qui arrivait droit vers nous. Pourquoi les gens apportaient tant d'importence à ce nouveau? C’était un être semblable à nous, c’est comme la neige, quand elle tombe, tout le monde regarde par la fenêtre, surprit de la voir débarquer sur notre planète, pour moi, ce nouveau était juste quelqu’un, un être humain.

Depuis son arrivait dans l'établissement, ce matin, Marie et Sophie semblaient distante, elles l'observaient sans relâche, par rapport à moi qui soupirais et l‘ignorais, même dans le réfectoire c‘était la même, tout le monde parlait de lui, comme une star. Mais il restait distant. Comme s’il était contagieux. Dès demain, plus personne ne fera attention à lui.
- J'y vais! Annonçai-je en prenant mon plateau.
L'inconnu se tenait à deux tables de nous, seul, personne n'osait aller lui adresser la parole. Je me davais d’aller lui parler, puisque j’étais déléguer, donc je devais l’inviter à visiter l’établissement et les trucs lourd à faire. Mais il m’intimidait un peu.
Je me dirigeais vers la file de sorti, pour vider mon plateau. Je devais passer devant le nouveau garçon. Cela faisait du bien de voir un visage nouveau mais je ne l'observais même pas. Et je me pris, malencontreusement, les pieds dans une des dalles de la pièce qui était mal fixé, avant de lâcher mon plateau, qui glissa jusqu'aux pieds du nouveau garçon. J'étais étendue de tout mon long sur le sol, et je sentais déjà les regard de tout ceux qui était dans la salle. Qu'est-ce qui m'a prit de ne pas regarder où je mettais les pieds. Tout le monde ici, savait que j'étais un peu maladroite. Je me relevai avec peine en esseyant de ne pas regarder autour de moi, et me dirigeais vers mon plateau. Mais il me le tendait déjà.
- C'est à toi?

A suivre... Si vous le désirez...

"fluide de l'eau clair"--> peut être qu'enlever le "fluide" est plus parlant.
"s‘il aurait été acteur"--> s'il avait été
"Je détournai mon regard de l'inconnu qui venait de nous apparaître" --> il est pas vraiment inconnu puisque tu en parles avant...
"son arrivait " --> son arrivée et "distanteS"
"par rapport à moi"--> tandis que je l'ignorais en soupirant (peut etre mieux)

Alors petit bilan de cette lecture (si tu le permets): dans l'histoire tout d'abord, c'est du twilight tout craché, c'est un peu dommage que la description soit exactement la même et qu'Elie soit aussi une Bella maladroite. Et puis, il y a des incohérences: tu décris le nouveau comme un être fascinant qui l'a fait rougir et la phrase d'après tu dis que ça lui fait ni chaud ni froid... bizarre...
ensuite, la syntaxe: tes phrases sont parfois trop détaillées:

ex:"Je me davais d’aller lui parler, puisque j’étais déléguer, donc je devais l’inviter à visiter l’établissement et les trucs lourd à faire." --> là, je mettrais plutôt: En tant que déléguée, je me devais de lui faire visiter l'établissement, ce qui m'obligerait forcément à lui adresser la parole tôt ou tard.

--> pour le moment ton texte est surtout descriptif de la situation, et tu te sens obligée de mettre tous les détails y compris les états d'âmes de tes personnages ce qui est normal. mais en relisant tu te rendras compte que certaines choses sont inutiles, car sous entendues, alors que d'autres doivent être appuyées pour que le lecteur comprenne qu'il s'agit de quelque chose d'important.

Je pense, en conclusion, que ton histoire doit murir avec plus de ton imagination, et essaye peut etre de te faire le film dans ta tete avant d'écrire, ça t'aidera à voir les détails importants sur lesquels tu dois t'attarder.

Merci beaucoup de tes conseils ^^

oui je sais que cela ressemble beaucoup à Twilight -_-" de toute manière elle est pas tellement terminé puisque je la travaille encore!!! D'ailleurs je dois chnager plein de choses ^^!!!

pas de soucis. le tout c'est l'envie d'écrire, après l'histoire murit avec le temps.

Oui merci ^^

{Messages de Rosalie<3 et Renesméee<33 supprimés par Aëlys.
Le message d'Aelin a aussi été supprimé, étant donné qu'il n'avait plus de raison d'être.}
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Cela aurait été... Simpa de supprimer les messages de ces choses... xD

Après relecture au bout de quelques années je dois bien avouer que c'est pourrie... enfin non rien est pourrie, juste que j'aurais dû faire plus attention en écrivant cet écrit ! D'ailleurs je l'ai mis de côté et non pas jeter au feu x) j'aurais dû dans un premier temps, évaluer les personnages pour pas me perdre, relire et relire encore et encore avant d'écrire, faire des recherche aussi !! Maintenant c'est ce que je fais, je prends le temps de relire de faire des recherches !