On, c'est vrai que je suis la depuis un moment, mais j'avais arreter pour me concentrer sur mes blogs. Et l'écriture ;D
Chapitre 1
Départ
Encore une journée monotones, sans grande action, je pourrais dire même sans action - sauf pour ce qui allait venir. Mon réveil sonna à sept heure du matin, je me leva tranquillement et me préparai pour aller au travail. Je déjeunai puis partis m’habillé, pour le travail je devais porter des vêtement noir et par-dessus mettre ma bouse vert bleuté, c’étais franchement pas beau, mais cela m’importais peu. Je travaillais dans une animalerie dans la rue en bas de chez moi, je pouvais donc y allé a pieds et éviter tous retard ou bouchon. Quand je fus prête je sortis de ma maison, plutôt de mon appartement et je le fermai à clefs. J’habitais au cinquième étages, ce n’était pas mon choix, mais cela ne me dérangeait pas vraiment. Pour descendre je ne pris pas l’ascenseur, je ne le prenais jamais, ou occasionnellement lorsque je revenais des courses et que j’étais chargé comme une mule. Je préférais prendre les escaliers, cela me permettais de réfléchir et d‘entretenir ma forme, mais c’était surtout pour réfléchir librement. Personne ne prenais les escaliers, c’était bien trop fatiguant et beaucoup plus lent que les ascenseurs. Mais à force de monter et descendre les escaliers je n’avais plus aucune difficulté à le faire, et pour ce coup, j’étais fière de moi. Cela faisait quelque année que je vivais là, un ans pour être précise, donc j’avais eu le temps de m’entraîné. Avant, avec Taylor, nous faisions des courses, mais pour cela je me fatiguais vite, il gagnait tout le temps.
Taylor était mon homme, mon chéri, mon amoureux, ce que vous voulez, mais c’est pour vous faire comprendre que je l’aimais. Mais il est partit, un beau soir, plutôt sombre pour ma part. Mais c’était la vie après tout, donc j’essayais de passer au dessus de cela, sans grande réussite. Je ne voulais pas pensé à lui, parlé de lui, pourtant c’Est-ce que je fis tout le temps, cette ville me le rappelait, et je me sentais tellement seule que je pensais toujours à lui. Je répétais souvent, extrêmement souvent que je ne voulais pas parlé de lui, mais il était mon obsession, j’asseyais de l’enlever, mais plus j’essayais plus j’y pensais, c’étais un cercle vicieux.
Au bout des escaliers se trouvais un hall d’entrer avec les boites au lettres et un bureau, ce bureau était celui du gardien - quelqu’un de pas très commode, mais qui surveillait bien l’immeuble. Nous n’avions aucune crainte de vole avec lui et puis pour ma part, il était assez sympathique avec moi, surtout depuis que j‘avais perdu Taylor, il compatissais. Je n’aimais pas ça, que les gens compatissaient, qu’il éprouve de la piété, je trouvais cela plutôt touchant de leur part, mais ce n’est pas pour autant que je supporte cette pitié. Et puis je n’aimais pas parlé de lui, j’étais fermé sur ce sujet, chaque fois que j’y pensais cela me faisait mal, très mal. Je recevait des décharge et des coups de poignard, la chaleur commençais à monter et la plus part du temps je me mettais à pleuré.
J’ouvris la porte et me trouvais dans la rue, dès tôt le matin il y avait déjà une circulation folle, avec des gens partout dans les rues. Ils couraient dans tout les sens. Ces personnes devaient chercher un taxi ou tout simplement se rendre à leur travaille à pieds. La boutique animalière dans laquel je travaillais se trouvait dans la rue d’en face, à deux cent mettre sur ma gauche. Je me dirigeai vers la routes et attendis que les voitures s’arrêtèrent et me laissèrent passer. J’attendis un long moments, les taxi pensais plus à leur passager qu’aux piétons, ils auraient pus nous écrasé si sa aurais permis d’aller plus vite, c’était des robot sans cervelle qui conduisait ces véhicules, bien trop pénible et ennuyant comme métier pour un simple petit humain. Au bout d’un certains temps, qui me paraissait une éternité, un taxi me laissa enfin passer.
Je traversais la rue en me dépêchant car sinon je risquait de la ralentir la circulation et par la même occasion provoquer des bouchons ou d’être percuté par un taxi, ce qui m’importait le plus dans ces possibilité. Puis tournai à droite en direction de l’animalerie, à l’extérieur de l’animalerie au dessus des bais vitré il y avait l’enseigne « Animalerie & co’ », un enseigne très simple donc de couleur vert comme la couleur de ma blouse mais l‘écriture était beaucoup plus foncé. Le devant du bâtiment était de la même couleur que le bleu/vert de ma blouse et il y avait de la boiserie pour rebord du style baroque.
Irène, mon employeurs était déjà là, bien sûr elle étaient plus ou moins blanche rosé, ma ville était la ville d’origine Américaine blanche, ce qui est ridicule, nous croisions cependant quelques personne ayant d’autre origine pour le travaille ou pour les vacance. Ma ville était la ville des plus ou moins blancs car nous étions situé au nord, mais certaines personnes étaient quelque peu coloré car New York Bay, comme son nom l’indique, est situé dans un Baie, il y a donc la mer et la plage pas loin, mais cela n’était pas du tout suffisant pour être marron.
Je ne trouvais pas cela normal d’être classer par origine et couleur, on se croirait dans une animalerie ! Aujourd’hui encore je ne suis pas d’accords avec ce mode de vie. Si j’avais continué a y vivre, j’aurais vu les gens ce classer par corpulence, ou pourquoi par intelligence ? C’était complètement fou, les gens régressaient, on revenait à l’ancien monde, au temps de la ségrégation, noir d’un coter, blanc de l’autre. J’étais bien informé sur le temps d’avant car je suivais des cours d’histoire sur le vieux monde, son fonctionnement, date et évènement importante, bien sûr en certains point nous avons évolué, mais pour certains nous sommes retourné au temps de la carriole et des maison en paille, pour vous dire que nous sommes allé loin.
Irène était quelqu’un de sociable, d’amical et chaleureuse, ce qui n’était pas toujours mon cas, mais quand on se trouvait avec elle on était forcément sympathique, on avait envie d‘être heureux et de rire, c‘était rare des personnes comme cela, et encore moins qui est votre patronne, pour ce sujet j‘étais plutôt chanceuse. Elle était de taille moyenne, les cheveux mi-long raide noir et un visage ovale. Un jours elle m’as dit qu’elle avait la trentaine, je fus étonné lorsqu’elle m’avait dit cela, je la trouvais plutôt jeune physiquement. Elle aussi portait la blouse de travaille vert bleuté, dessus il y avait un badge avec son prénom et dessous marqué « directrice », un grand mot pour une petite boutique. Je portait, moi aussi, un badge avec mon prénom dessous et en dessous de ce prénom il y avait marqué « employer », je ne voyais pas l’intérêt de porté ces badge, comme si un client allait nous appeler par notre prénom, surtout à la patronne, et pour mon cas, cela gênait les gens de m’appeler Abigayle, car ce nom était long et compliqué.
Irène était en quelques sorte une amie, car je la côtoyais tout les jours de la semaine sauf le dimanche, on parlait de temps à autre, mais pas souvent sur de grand sujets. Ce n’était pas un amie complètement car je n’y était pas vraiment attacher, même si, cependant, je la trouvais attachante, ce n’était qu’une constatation.
J’entrai dans la boutique, elle me salua dès qu’elle me vit.
- Bonjours, répondis-je.
- Bon journée, il va faire beau tu en pense pas ? Me demanda-t-elle, - - Oui sûrement, dis-je peu intéresser, notre première conversation de la journée concernait souvent la pluie et le beau temps, un sujet qui n’avait pas vraiment d’importance pour moi car j’aimais la pluie et le soleil.
Puis je me dirigeais vers les animaux, car comme à chaque fois que j’arrivais, mon premier travail était d’aller voir les animaux et voir comment ils allaient. Irène ne le faisait pas, elle, elle vérifiait l’administratif en arrivant. Et elle aimait que je le fasse, cela m’occupait et puis elle pouvait faire ses comptes dans le calme. Moi aussi j’appréciais le fait que je m’occupe des animaux, c’est d’ailleurs pour ça que je travaillais dans cette boutique. Nous avions peu d’animaux dans la boutiques, c’était surtout de petit animaux que nous vendions là-bas, des cochons d’inde, lapins, chiens, chats, souries, perruche, quelques poissons et autre animaux de ce type. Je commençai d’abords par aller voir les chiens, ils étaient affamés, j’allais donc chercher à manger et à boire et le leur donnais. Je fis la même choses avec tous les animaux, chaque animal avait sa propre nourriture avec des dosages différent, c’était un rituel. Ma vie même était un rituel, je faisais toujours les même gestes, je ne faisais vraiment rien de particulier.
Sa me lassais énormément, surtout depuis qu’il n’étais plus là. J’avais toujours du mal à parler de lui, sa me faisait mal, je n’en avais pas envie et je dirais même que j’avais de plus en plus de mal, car chaque jour son absence ce faisait ressentir. Et ces souvenir et lui m‘appartenais, du moins c‘était de cette manière que je le concevais, je ne voulais pas que les gens éprouve de la fausse compassion, personne ne savait vraiment qui il était, les gens qui me connaissait l‘avaient juste croisé et les autres en avait surtout entendus parlé car sa disparition avait fait beaucoup de remue ménage dans la ville, les gens on été choqué de s‘apercevoir que les gens pouvaient être enlevé, du moins c‘Est-ce que nous pensions tous. Ma façon d’agir peut paraître étrange, normalement les gens qui ont cela vont voir des psychologues, en parle, mais pas moi. D’ailleurs personne ne sait qui je suis et ce qui m’est arriver, enfin pas à moi, mais à lui, Taylor mis à part qu’il est disparut, mais au bout de quelque mois le gens étaient revenus à leur vie normal, cette affaire trottait seulement dans certaines personnes, dont les agents qui s’occupaient cette enquête et les personnes qui me connaissaient. Mais ça ne les empêchait en rien de vivre, sauf à moi.
Quelques clients passèrent dans la boutique ce jour là. Il y en avait très peu, je pouvait donc lire un bon livre pendant qu’il n’y avait personne. Le lisais Les âmes vagabondes de Stephenie MEYER, un livre très beau et une histoire captivantes, l’histoire d’un amour évadé dans le désert, cela me rappelait Taylor, mais je m’en fichais, ça me faisait du bien de pleurer sur ce livre, j’y étais très sensible car ce sujet me touchait. Souvent quand je lisais des livres, je ne voyais pas les clients arriver. Et Irène n’était pas toujours là pour les accueillir, et quand elle était là, elle me rouspétait dessus en me disant :
- Lire c’est bien, mais travailler c’est mieux.
Je connaissait cette phrases par cœur et lorsqu’elle la disait, je la répétait en même temps. Cela m’exaspérais, mais je n’avais pas vraiment de raison car j’étais là pour travailler, donc je me levais et allais voir les animaux ou accueillir les clients, je m’essuyais souvent les yeux.
Quand je n’étais pas d’humeur à aller lire j’allais voir les animaux les prenais et jouais avec. Je changeais tous les jours d’animaux, un jours les chiens, l’autre les chats, le jour suivant les lapins, ects… Car il fallait aussi les occupés, les pauvres, ils étaient enfermés dans une cage. Ce jours là je décidai de prendre un chaton, je trouvais sa très drôle. Quand je prenais un chaton j’avais l’impression qu’il découvrait le monde, c’est un animal très joueurs. Souvent en rentrant j’étais obliger de soigner mes blessure quand le temps me manquait pour que je puisse le faire à la boutique. Irène me répétait sens cesse de ne pas jouer avec les animaux car sinon ils prenaient de mauvaise habitude. Je me demandais souvent si elle allait me renvoyer du faite que je ne faisait pas ce qu’elle voulait vraiment, non que je lui désobéissait vraiment mais j’étais dans mon monde. Je jouais avec les animaux, lisais, néanmoins je faisait très bien mon travail. Ce fus sans doutes pour cela qu’elle ne me vira jamais. Et si elle m’avait viré elle n’aurait trouver personne avant un bon moment, peu de personne aimait travaillé avec des animaux.
Vers cinq heure de l’après-midi, Irène intervînt
- Abbie, tu peux partir plus tôt si tu veux, c’est très calme, et puis je vais fermé la boutique plus tôt aujourd’hui.
- Oui, d’accords, mais se ne me dérange pas de rester jusqu’à la fin tu sais, lui répondis-je, je ne vouais pas partir, ici au moins je m’occupais, j’étais une sorte d’enfant qu’il fallait distraire.
- Je sais bien, dit-elle avec regret, des fois je me demandais si elle savait ce qui m’était arriver, enfin, à Taylor, si elle comprenait ce que je ressentais, si elle n‘en était pas un peu coupable. Juste une chose, continua-t-elle.
- Oui ? L’interrogeais-je
- Nourris les animaux et donne leur à boire avant de partir si tu veux bien, me demanda-t-elle très poliment.
- Aucun problème.
Je partis dans la réserve prendre à manger et à boire que je donnais au animaux. Après cela je sortis de la boutique. Je n’avais pas envie de rentré chez moi, qu’est-ce que j’y aurait fait ? Regarder la télé, avec des programmes naze ? Manger à cinq heure de l’après midi ? Dormis à cinq heures de l’après midi ? Non, je n’avais aucune envie de rentrer. Je décidai donc d’erré dans les rues, devant les boutiques, j’aimais beaucoup la mode, les vêtements.
Je marchais, marchais encore et encore sans grand but à par de vidée ma tête. Puis lorsque je fus un minimum lassé et épuisé je décidai de rentré. Je fis rebrousse chemin et entrai dans mon immeuble. En montant les marches, comme à mon habitude, je réfléchissais à ce qui me restait, à ce qui me retenais ici.. Et je m’était aperçu que rien, non rien ne me retenait ici. Je repensais à mes parents, mais ne sont plus mes parents depuis de nombreuse année, ils étaient entièrement entré dans ce system superficiel de notre monde, je crois même ne pas les avoirs vraiment connu. Et puis je vivais seul, Taylor n‘était plus là, il aurait du être l’homme de ma vie, mais, depuis sa disparition je n‘avais plus rien du tout. Depuis cette épisode je n’eu plus eu le goût de vivre, de faire quoi que ce soit, pourtant je n’avais que 17 ans. Il me manquait atrocement, j’avais un coup de poignard dans le cœur quand je pensais à lui, à son visage d’ange. On n’a jamais su, si il étais parti de lui-même ou enlevé par une organisation qui cherche de nouvelle personne pour forcer les gens a entrer dans cette mentalité ou je ne sais quoi de d‘idée tordu, les enquêteurs avaient émis de nombreuses hypothèse . J’ai eu du mal a vivre sans lui. Des fois je pensais même qu’il n’était peut-être plus de ce monde, une chose était sûr, à ce moment là, je ne le reverrais plus jamais.
J’eus alors une idée, je devais partir là où les fugitifs comme moi, ceux qui ne voulaient plus vivre de cette manière partaient. Je voulais être libre, libre de faire mes propres choix, libre d’être moi et libre de m’exprimer. J’avais déjà entendus parlé de cette communauté par deux personnes étrange dans les rues un jours, et j’y avais prêté attention, j’en avais même parlé à Taylor, il m’avait dit que cela n’était pas possible, et puis voudrais vivre là-bas ? Mais j’était décidé à y aller.